«La France doit reconnaître ses crimes coloniaux en Algérie»

Concernant la question de la reconnaissance des crimes coloniaux, entre autres, ceux commis par la France en Algérie, le secrétaire général du FLN dira que son parti ne peut que rester sur sa position exigeant la reconnaissance des crimes français commis durant l'époque coloniale. «On ne peut pas engager de relations sereines avec un peuple et un Etat quand le devoir de mémoire est écarté. C'est sur cette base qu'on entretient des relations avec les autres», a-t-il affirmé.
S'agissant des révoltes ayant secoué les pays arabes, notamment l'Egypte, la Tunisie, la Libye ou encore la Syrie, et sur l'éventuelle mainmise étrangère, il soulignera que le pays n'est pas à l'abri d'une éventuelle déstabilisation étrangère. «L'Algérie est toujours ciblée, de par ses positions exprimées», a-t-il soutenu, avant de préciser que «les jeunes de l'Algérie n'ont pas mordu à l'appel lancé pour la prétendue révolte du 17 septembre sur le réseau social Facebook».
Concernant la question de la reconnaissance des crimes coloniaux, entre autres, ceux commis par la France en Algérie, le secrétaire général du FLN dira que son parti ne peut que rester sur sa position exigeant la reconnaissance des crimes français commis durant l'époque coloniale. «On ne peut pas engager de relations sereines avec un peuple et un Etat quand le devoir de mémoire est écarté. C'est sur cette base qu'on entretient des relations avec les autres», a-t-il affirmé.
S'agissant des révoltes ayant secoué les pays arabes, notamment l'Egypte, la Tunisie, la Libye ou encore la Syrie, et sur l'éventuelle mainmise étrangère, il soulignera que le pays n'est pas à l'abri d'une éventuelle déstabilisation étrangère. «L'Algérie est toujours ciblée, de par ses positions exprimées», a-t-il soutenu, avant de préciser que «les jeunes de l'Algérie n'ont pas mordu à l'appel lancé pour la prétendue révolte du 17 septembre sur le réseau social Facebook».