L’historien s’est invité, un court instant, dans ce que l’on appelle désormais “le débat sur la repentance”, épine durable dans les relations algéro-françaises. Il a restitué, notamment, le rôle de l’historien professionnel. “L’objet de l’histoire n’est pas de juger, mais l’historien est capable de définir les responsabilités historiques”, affirme Harbi. “La France a une responsabilité historique, et elle doit l’assumer. Sinon, on va entretenir la haine et le ressentiment”, prévient l’historien.R. A.
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Posté Le : 18/10/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rachid Alik
Source : www.liberte-algerie.com