Algérie

La formule tarde à se généraliser



La formule tarde à se généraliser
Peu d'enfants attendent de nos jours l'age de six ans pour découvrir l'école. La profusion de crèches, d'écoles privées, auxquelles ont recours surtout les couples qui travaillent, et l'ouverture de classes dans certaines écoles à travers les wilayas, ont accoutumé les bambins aux charmes et difficultés de l'apprentissage. L'Algérie envisage de généraliser cet enseignement préparatoire et de plus en plus indispensable à la véritable scolarité. Pourtant, faute de places et par manque d'encadrement spécialisé, il s'agit, à vrai dire, d'un enseignement expérimental qui concerne moins de 30 % des effectifs scolaires à l'échelle nationale. Ne faut-il pas craindre une discrimination envers les élèves qui sont privés de cet accès précoce au savoir ' L'actuelle ministre de l'Education nationale, Mme Benghebrit, qui, au sein du Crasc d'Oran, avait mené des enquêtes de terrain sur le sujet, accorderait une attention particulière au préscolaire devenu un passage obligé pour les élèves. Le dossier figure parmi ses priorités.




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