Algérie

La formation, un atout pour le développement



La formation, un atout pour le développement
Les pouvoirs publics consacrent un budget conséquent et des moyens importants pour la prise en charge des besoins en qualification des différents secteurs de l'activité économique.Les pouvoirs publics consacrent un budget conséquent et des moyens importants pour la prise en charge des besoins en qualification des différents secteurs de l'activité économique.Placé sous le thème : "Risque, échec et réussite", le 1er Forum de l'université de l'entrepreneur a débuté hier à l'hôtel Hilton avec la participation de nombreux entrepreneurs, étudiants et porteurs de projets.Cet évènement permettra de booster les entrepreneurs.En effet, le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Nourredine Bedoui estime que "cette initiative majeure constitue une contribution inestimable au développement de la création d'entreprise". Il ajoute que "les nouveaux systèmes de production la numérisation et le développement rapide des technologies, placent l'homme au c?ur de la gestion économique.Désormais, c'est l'homme qui est déterminant en dernière instance. C'est ainsi que les Etats modernes investissent lourdement dans les systèmes d'éducation-formation pour qualifier la ressource humaine nécessaire au développement économique".Bedoui estime également que "à ce titre, les pouvoirs publics en Algérie consacrent un budget conséquent et des moyens importants à la prise en charge des besoins en qualification des différents secteurs d'activité économique. Aussi, il s'agit de soutenir et prendre en charge avec les opérateurs économiques les objectifs et les programmes d'action en matière de formation".Le ministre poursuit : "Tout en accompagnant les entreprises en activité, le secteur de la formation et de l'enseignement professionnels participe également à la l'accompagnement de la création d'entreprises à travers des partenariats avec les différentes institutions de soutien à la création d'entreprises, à savoir l'Ansej, l'Angem, la Cnac...".Pour sa part, Ouhila Djebari, directrice de projet, elle a souligné que "pendant deux jours, des entrepreneurs prendront du recul pour réfléchir, découvrir de nouvelles façons de penser et confronter opinions et expériences. En prenant connaissance des expériences des autres, souvent des success story, il s'agit de booster les entrepreneurs, nouveaux ou expérimentés.Il s'agit aussi de leur donner les outils pour une meilleure compréhension et une capacité d'analyse des données macroéconomiques. Il y a lieu également de leur faire prendre conscience que la formation est un atout pour les projets et le développement de l'entreprise".Le programme des conférences s'articule notamment autour des communications lié à l'inauguration du village entrepreneur et le lancement de l'opération "incubateur d'entreprise d'Oran", entrepreneuriat dans les zones ou communes défavorisées, de l'économie administrée à l'économie de marché, les PME à l'épreuve de la mise à niveau des entreprises en Algérie.Placé sous le thème : "Risque, échec et réussite", le 1er Forum de l'université de l'entrepreneur a débuté hier à l'hôtel Hilton avec la participation de nombreux entrepreneurs, étudiants et porteurs de projets.Cet évènement permettra de booster les entrepreneurs.En effet, le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Nourredine Bedoui estime que "cette initiative majeure constitue une contribution inestimable au développement de la création d'entreprise". Il ajoute que "les nouveaux systèmes de production la numérisation et le développement rapide des technologies, placent l'homme au c?ur de la gestion économique.Désormais, c'est l'homme qui est déterminant en dernière instance. C'est ainsi que les Etats modernes investissent lourdement dans les systèmes d'éducation-formation pour qualifier la ressource humaine nécessaire au développement économique".Bedoui estime également que "à ce titre, les pouvoirs publics en Algérie consacrent un budget conséquent et des moyens importants à la prise en charge des besoins en qualification des différents secteurs d'activité économique. Aussi, il s'agit de soutenir et prendre en charge avec les opérateurs économiques les objectifs et les programmes d'action en matière de formation".Le ministre poursuit : "Tout en accompagnant les entreprises en activité, le secteur de la formation et de l'enseignement professionnels participe également à la l'accompagnement de la création d'entreprises à travers des partenariats avec les différentes institutions de soutien à la création d'entreprises, à savoir l'Ansej, l'Angem, la Cnac...".Pour sa part, Ouhila Djebari, directrice de projet, elle a souligné que "pendant deux jours, des entrepreneurs prendront du recul pour réfléchir, découvrir de nouvelles façons de penser et confronter opinions et expériences. En prenant connaissance des expériences des autres, souvent des success story, il s'agit de booster les entrepreneurs, nouveaux ou expérimentés.Il s'agit aussi de leur donner les outils pour une meilleure compréhension et une capacité d'analyse des données macroéconomiques. Il y a lieu également de leur faire prendre conscience que la formation est un atout pour les projets et le développement de l'entreprise".Le programme des conférences s'articule notamment autour des communications lié à l'inauguration du village entrepreneur et le lancement de l'opération "incubateur d'entreprise d'Oran", entrepreneuriat dans les zones ou communes défavorisées, de l'économie administrée à l'économie de marché, les PME à l'épreuve de la mise à niveau des entreprises en Algérie.




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