"Discret, mutisme, en berne, partira partira pas", on a tout dit, tout écrit sur le personnage énigmatique qu'est le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, personnage politique depuis une décennie, est tantôt honni pour les ponctions sur salaires, la dissolution des entreprises mais il sait jouer au pompier « quand il le faut ». On retient malgré tout de lui l'éradicateur impénitent. Entretemps sa gestion accuse des hauts et des bas. Le front social est en ébullition, le Premier ministre le reconnait, il y a le secteur du logement qui souffre d'un problème de transparence, là aussi le Premier ministre reconnaît qu'on ne doit pas tourner le dos à la société. Etrange personnage tout de même ce Premier ministre qui peut passer du méchant au gentil. Bref, il y a eu un Ouyahia I Iimogé en 2006 alors qu'il avait pourtant montré des gages de fidélité, aujourd'hui c'est un Ouyahia II, revenu en 2008, que l'on retrouve avec des habits neufs pour la circonstance. Mais durant l'année 2011 il se sera montré très effacé - une qualité chez lui - mis à part son intervention en tant que SG du RND où il aura parlé à bâtons rompus sans pour autant affirmer ou infirmer sa candidature à la présidentielle en lançant un peu amusé « qu'il y avait un destin entre lui et la présidence » Comprendra qui comprendra. Quant aux réformes, il les approuve dans le fond et dans la forme et multiplie les conseils de gouvernement pour mettre en 'uvre les réformes politiques initiées par le président car les deux hommes ont un point commun : "L'intérêt supérieur de la nation". Alors quand il y un grain de sable qui grippe la machine, Ouyahia fronce les sourcils et à coups de circulaires tape sur les doigts des ministres qui sortent des rangs. Le premier à s'être fait tirer les oreilles pour la pénurie sévère de médicaments est le ministre de la Santé qui n'a pas du tout apprécié la remontrance, puis c'est au tour de Smaïl Mimoune, ministre du Tourisme d'essuyer les foudres du Premier ministre en lui retirant la gestion du foncier pour entrave au développement du secteur. Ahmed Ouyahia est décidé à remettre de l'ordre dans la maison Algérie et ce n'est pas la perspective des législatives de 2012 qui lui feront baisser la garde même s'il doit laisser son fauteuil pour un changement technique et engager son parti dans la bataille des législatives.
"Discret, mutisme, en berne, partira partira pas", on a tout dit, tout écrit sur le personnage énigmatique qu'est le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, personnage politique depuis une décennie, est tantôt honni pour les ponctions sur salaires, la dissolution des entreprises mais il sait jouer au pompier « quand il le faut ». On retient malgré tout de lui l'éradicateur impénitent. Entretemps sa gestion accuse des hauts et des bas. Le front social est en ébullition, le Premier ministre le reconnait, il y a le secteur du logement qui souffre d'un problème de transparence, là aussi le Premier ministre reconnaît qu'on ne doit pas tourner le dos à la société. Etrange personnage tout de même ce Premier ministre qui peut passer du méchant au gentil. Bref, il y a eu un Ouyahia I Iimogé en 2006 alors qu'il avait pourtant montré des gages de fidélité, aujourd'hui c'est un Ouyahia II, revenu en 2008, que l'on retrouve avec des habits neufs pour la circonstance. Mais durant l'année 2011 il se sera montré très effacé - une qualité chez lui - mis à part son intervention en tant que SG du RND où il aura parlé à bâtons rompus sans pour autant affirmer ou infirmer sa candidature à la présidentielle en lançant un peu amusé « qu'il y avait un destin entre lui et la présidence » Comprendra qui comprendra. Quant aux réformes, il les approuve dans le fond et dans la forme et multiplie les conseils de gouvernement pour mettre en 'uvre les réformes politiques initiées par le président car les deux hommes ont un point commun : "L'intérêt supérieur de la nation". Alors quand il y un grain de sable qui grippe la machine, Ouyahia fronce les sourcils et à coups de circulaires tape sur les doigts des ministres qui sortent des rangs. Le premier à s'être fait tirer les oreilles pour la pénurie sévère de médicaments est le ministre de la Santé qui n'a pas du tout apprécié la remontrance, puis c'est au tour de Smaïl Mimoune, ministre du Tourisme d'essuyer les foudres du Premier ministre en lui retirant la gestion du foncier pour entrave au développement du secteur. Ahmed Ouyahia est décidé à remettre de l'ordre dans la maison Algérie et ce n'est pas la perspective des législatives de 2012 qui lui feront baisser la garde même s'il doit laisser son fauteuil pour un changement technique et engager son parti dans la bataille des législatives.
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Posté Le : 29/12/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Soraya hakim
Source : www.lemidi-dz.com