Algérie

La FIA 2012, importante occasion de consolider les relations commerciales entre l'Algérie et l'Egypte (Abul-Ala)



La FIA 2012, importante occasion de consolider les relations commerciales entre l'Algérie et l'Egypte (Abul-Ala)
Le choix de l'Egypte comme invité d'honneur de la 45ème édition de la Foire internationale d'Alger (FIA 2012) offre une opportunité importante d'insuffler un nouvel élan aux relations commerciales entre les deux pays frères et de leur permettre un retour à la normale, a souligné jeudi à Alger le président de l'Administration centrale de soutien aux investisseurs à l'Instance générale égyptienne pour l'Investissement, Naji Abul-Ala.
Intervenant lors d'une conférence organisée en marge de la foire sur le thème "Opportunités et climat d'investissements en Egypte", M. Abul-Ala a affirmé que "la FIA offre aux hommes d'affaires et investisseurs des deux pays l'occasion de conclure des partenariats commerciaux, de faire la promotion de leurs produits tout en créant de nouvelles opportunités d'investissements et de s'enquérir des besoins de chaque marché".
Les projets d'investissements égyptiens en Algérie "sont très réussis" en dépit de la période difficile qu'ont connue les relations algéro-égyptiennes, a-t-il ajouté rappelant que les investisseurs égyptiens n'avaient pas pour autant quitter l'Algérie.
Dans ce contexte, M. Abul-Ala a invité les hommes d'affaires algériens et égyptiens à "découvrir davantage les opportunités de coopération et à consolider les relations commerciales, économiques et d'investissement" entre les deux pays.
Evoquant les opportunités d'investissement en Egypte, l'intervenant a indiqué que le gouvernement égyptien provisoire a mis en place un programme de réformes économiques à même de créer de l'emploi et de consacrer la justice sociale.
M. Abul-Ala a tenu à mettre en avant la bonne santé de l'économie égyptienne précisant que les indicateurs économiques enregistrés actuellement en Egypte encourageaient les investissements. Le taux de croissance en Egypte a atteint 5,1% entre 2010 et 2011 alors les réserves de change ont été estimés à 15 milliards de dollars en février dernier.




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