La fédération CHLEF réagit vivement contre les pratiques du social et de l'emploi la contractualisation.

La fédération CHLEF du front forces socialistes (FFS ) , réagit vivement contre les pratiques du social et de l'emploi la contractualisation.

- FFS CHLEF dénonce non prise en charge les démunis venus de plusieurs communes le 30/01/2012 pour protester contre l'injustice devant Direction de l'Emploi, du travail et des affaires sociales, à l'encontre des la contractualisation vise à maintenir les travailleurs dans une nouvelle forme d'esclavage. Le silence du pouvoir qui ne cesse de manifester son mépris et son indifférence totale à l'égard des travailleurs en détresse et vivant dans la précarité croissante et dans une grande misère sociale chronique. Les travailleurs, les jeunes et les femmes en particulier qui représentent 80 travailleurs les plus emploi du filet la politique de l'emploi qui est un échec et un leurre car ce système de % des travailleurs précaires sont les plus exposées à toutes les formes de harcèlements et aux atteintes à la dignité humaine.

- FFS CHLEF dénonce également les licenciements de 05 journalistes, exerçant à la Radio de Chlef depuis 2008, viennent d’être licenciées par la direction, au motif que leur contrat (de 2 à 3 ans) a pris fin. Elles ont été recrutées dans le cadre du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle, à l’instar de six autres de leurs collègues.

- FFS CHLEF soutient les revendications légitimes des travailleurs de OPGI de CHLEF et dénonce le silence du pouvoir publique pour régler les problèmes légitimes des travailleurs.

- FFS CHLEF déclare aussi que les femmes recrutées dans le cadre du pré-emploi et du filet social subissent des pressions et des intimidations à chaque fin de contrat, ces pratiques de l'emploi sont paradoxales car des postes clés sont confiés ces derniers tel que les services de l'intérieur, le secteur de la santé, de l'éducation. Aussi ils sont bons et compétents pour le service et mauvais et non compétents pour être permanisés.
- Par ailleurs FFS CHLEF réagit vivement contre les pratiques de l'intégration des jeunes par l'ANEM qui accentue l'exploitation et la précarité des jeunes recrutes les pharmacies, laboratoires médicaux privés qui sert l'intérêt des recruteurs privés au détriment des jeunes qui sont sous payés par l'état et aux services du privé qui ne sortent pas un sous de leur poche.
Surement le pouvoir a oublié que c'est les jeunes universitaires qui sont dans la précarité et non les recruteurs et employeurs privés