Algérie

La famille Alahoum répond à Abdelhamid Brahimi



Les propos tenus par l'ancien Premier ministre sous Chadli, Abdelhamid Brahimi, le 3 octobre lors d'une émission de la chaîne Al Jazeera, « Ziara khassa », dont notre journal a fait l'écho dans un article intitulé « Les faux scoops de Abdelhamid Brahimi », n'ont pas tardé à provoquer des réactions en Algérie. L'invité de la chaîne qatarie a soutenu que Boumediène a été « empoisonné » et qu'il en est même « sûr ». Il ira même jusqu'à dire : « Je crois que son directeur de protocole était seul capable d'exécuter l'acte. » L'allégation n'a pas laissé indifférente la famille de l'ancien secrétaire général de la Présidence sous Boumediène, le défunt Abdelmadjid Alahoum. Elle lui répond. Invité sur la chaîne Al Jazeera, dans le cadre de l'émission « Ziara khassa », diffusée le 3 octobre 2009, Abdelhamid Brahimi a déversé un flot de propos haineux et assassins et distillé son venin vindicatif et revanchard, destiné, en apparence, à des personnes mais, en dernière analyse, à l'Algérie.Non content de ne pas avoir à rendre compte, devant un tribunal populaire, des dégâts ravageurs et des traumatismes indélébiles causés par sa gestion désastreuse du pays, lorsqu'il en était Premier ministre, avec pour point d'orgue les tragiques événements d'octobre 1988 avec leur lot de morts et autres victimes, voilà que celui qui n'avait pu se distinguer que par son pavé des vingt-six milliards, de sinistre mémoire, sans doute ragaillardi par tant d'impunité, pousse aujourd'hui l'ignominie de son forfait jusqu'à, toute honte bue, porter des accusations d'une extrême gravité, sans aucun souci d'en fournir la moindre preuve, et qui plus est, post mortem, contre des responsables disparus depuis longtemps, comme c'est le cas, hélas, pour Abdelmadjid Alahoum, secrétaire général de la présidence de la République au moment de la maladie du regretté président Houari Boumediène et non directeur du protocole comme, faussement, affirmé par Abdelhamid Brahimi pour étayer ses élucubrations.Ce sinistre personnage ne saurait éprouver de l'affection pour l'Algérie que s'il en est dirigeant. A défaut de hautes responsabilités, et a fortiori s'il en est évincé après constat patent de ses échecs répétés, il s'empresse alors, de façon éhontée et au déni de tout souci de dignité, de monnayer à l'étranger une hospitalité pour le moins douteuse ; manifestement, il s'acquitte, aujourd'hui, de la rançon en mercenaire qu'il est devenu, pour autant qu'il n'a jamais cessé de l'être.Prenant pour de la faiblesse l'indifférence dans laquelle ont été accueillies, par le passé, ses injures et bravades, Abdelhamid Brahimi ose franchir le Rubicon, non pas pour s'abriter derrière de vagues supputations, mais pour tenter de ternir la mémoire du défunt Abdelmadjid Alahoum qui de son vivant, comme aujourd'hui encore, inspire respect et considération pour son patriotisme, son engagement, son sens de l'équité, son attachement pour les plus hautes valeurs morales, comme pour sa loyauté indéfectible et notoirement connue pour le regretté président Houari Boumediène. En attendant que l'histoire ne range, comme il se doit, le sinistre Abdelhamid Brahimi aux oubliettes des déchets nauséabonds de l'indignité, dans le placard des mercenaires prêts à toute traîtrise, la famille du regretté Abdelmadjid Alahoum entend protéger sa mémoire et défendre son honneur et sa dignité en déposant plainte contre le sieur Abdelhamid Brahimi. Madame veuve Abdelmadjid Alahoum et ses enfants  >   


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)