Dans le courant des années 1990, l’état algérien s’est trouvé devant un
dilemme très pointu soit continuer de maintenir sous perfusion les entreprises
publiques, en particulier celles du bâtiment et des travaux publics qui
occupaient la masse de la population le plus élevée au risque de
l’endettement par rapport aux institutions financières internationales qui a
atteint des sommets vertigineux jusqu’à la cessation des paiements, soit
dissoudre ces entreprises, véritable gouffre budgétivore et compromettre la
paix .sociale.
L’alternative n’a pas échu à l’état algérien, elle lui a été imposée contre
son gré et malgré lui .Car les crédits ont été freinés de la part des clubs
régionaux de financement occidentaux, de la banque mondiale, du FMI, ainsi
que des compagnies d’assurances pouvant garantir le paiement même différé
pour une période éloignée.
Abstract :
During the 1990’s, Algerian government faced several economics
problems, especially those in public enterprises operating in the building and
constructing sector .The Algerian international debts towards financial
establishments was increasing fatly to reach critical levels.
Consequently, difficulties as with regard to the Public Treasure caused
cut on public budget.
This situation, associated to continuous decreasing investment levels in
the constructing sector accelerated the bankruptcy of companies in this
sector
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Posté Le : 08/09/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Midoun Mohamed Tewfik
Source : Revue algérienne d'économie et gestion Volume 7, Numéro 1, Pages 49-67