Algérie

La Faf "regrette la recrudescence verbale"



Quatre jours après les critiques acerbes du président de la JSK Chérif Mellal à l'encontre du président de la LFP Abdelkrim Medouar, la FAF a noté "avec regret la recrudescence de la violence verbale", tout en appelant ces auteurs "à fairepreuve de beaucoup de retenue".Quatre jours après les critiques acerbes du président de la JSK Chérif Mellal à l'encontre du président de la LFP Abdelkrim Medouar, la FAF a noté "avec regret la recrudescence de la violence verbale", tout en appelant ces auteurs "à fairepreuve de beaucoup de retenue".
La "Faf note avec regret la recrudescence de la violence verbalede la part de certains dirigeantsde clubs, à l'encontre de la LFP, del'arbitrage et même de l'instancequ'elle dirige. Il ne se passe pas unejournée de championnat sans qu'unprésident ou dirigeant de club neverse sa colère sur les institutions quigèrent le football avec une rare violence",a indiqué la Faf dans un communiquépublié tard dans la soirée delundi sur son site officiel.
La Faf a réagi, indirectement, auxpropos tenus par Mellal vendredi dernier,à l'issue de la défaite de sonéquipe en déplacement face auCABB Arreridj (1-0), en clôture de la15e journée de la Ligue 1. Le patrondes Canaris n'a pas hésité, une nouvellefois, à tirer à boulets rouges surMedouar. "On m'a interdit l'accès austade du 20-Août 1955 de Bordj, c'estantiréglementaire. Je n'avais pasreçu la notification de ma suspension.C'est une dictature. J'appelleles autorités à intervenir. Je vaisdéposer un dossier au niveau de laFifa pour faire valoir mes droits. Si lasituation reste la même, nous allonsnous retirer du championnat.Medouar est l'ennemi de la JSK, ilest illégal à la LFP. Nous sommesciblés par cette mafia de monsieur Medouar ?
il n'est même pas un monsieur-. On ne va pas se taire. La JSKest plus grande que lui", a affirméMellal lors d'un point de presse. Mellal est sous le coup d'une suspension pour une année, dont six mois avec sursis, pour "violation de l'obligation de réserve, outrage et atteinteà la dignité et à l'honneur d'un membre de la ligue". Cette sanction fait suite à ses déclarations aux médias à l'encontre de Medouar, après les modifications apportées par la LFPau calendrier de la compétition,notamment le décalage pour 24heures du match de son équipe en déplacement face à l'USM Alger (défaite, 1-0).
"Des accusations gratuites et souvent diffamatoires"
L'instance fédérale a qualifié de "gratuites et souvent diffamatoires" les accusations lancées contre les responsables de la LFP et les arbitres. "Des accusations gratuites et souvent diffamatoires qui interpellent la Fédération pour rappeler a leurs auteurs qu'il existe des canaux légaux pour introduire leur contestation ou autre réclamation outre celles de l'usage à satiété des médias qui nepeut déboucher que sur la création d'un climat de suspicion, de haine et par extension un appel clair à la violence", a-t-elle ajouté.
Enfin, la Faf appelle "les présidents, dirigeants de clubs, entraîneurs, et les joueurs à faire preuve de beaucoup de retenue dans leurs déclarations et user des voies de recours légales et de ne pas succomber à l'invective qui ne fait honneur ni à leurs auteurs ni à la disciplinequ'il pratique et ni à leur rang d'éducateurs".
La "Faf note avec regret la recrudescence de la violence verbalede la part de certains dirigeantsde clubs, à l'encontre de la LFP, del'arbitrage et même de l'instancequ'elle dirige. Il ne se passe pas unejournée de championnat sans qu'unprésident ou dirigeant de club neverse sa colère sur les institutions quigèrent le football avec une rare violence",a indiqué la Faf dans un communiquépublié tard dans la soirée delundi sur son site officiel.
La Faf a réagi, indirectement, auxpropos tenus par Mellal vendredi dernier,à l'issue de la défaite de sonéquipe en déplacement face auCABB Arreridj (1-0), en clôture de la15e journée de la Ligue 1. Le patrondes Canaris n'a pas hésité, une nouvellefois, à tirer à boulets rouges surMedouar. "On m'a interdit l'accès austade du 20-Août 1955 de Bordj, c'estantiréglementaire. Je n'avais pasreçu la notification de ma suspension.C'est une dictature. J'appelleles autorités à intervenir. Je vaisdéposer un dossier au niveau de laFifa pour faire valoir mes droits. Si lasituation reste la même, nous allonsnous retirer du championnat.Medouar est l'ennemi de la JSK, ilest illégal à la LFP. Nous sommesciblés par cette mafia de monsieur Medouar ?
il n'est même pas un monsieur-. On ne va pas se taire. La JSKest plus grande que lui", a affirméMellal lors d'un point de presse. Mellal est sous le coup d'une suspension pour une année, dont six mois avec sursis, pour "violation de l'obligation de réserve, outrage et atteinteà la dignité et à l'honneur d'un membre de la ligue". Cette sanction fait suite à ses déclarations aux médias à l'encontre de Medouar, après les modifications apportées par la LFPau calendrier de la compétition,notamment le décalage pour 24heures du match de son équipe en déplacement face à l'USM Alger (défaite, 1-0).
"Des accusations gratuites et souvent diffamatoires"
L'instance fédérale a qualifié de "gratuites et souvent diffamatoires" les accusations lancées contre les responsables de la LFP et les arbitres. "Des accusations gratuites et souvent diffamatoires qui interpellent la Fédération pour rappeler a leurs auteurs qu'il existe des canaux légaux pour introduire leur contestation ou autre réclamation outre celles de l'usage à satiété des médias qui nepeut déboucher que sur la création d'un climat de suspicion, de haine et par extension un appel clair à la violence", a-t-elle ajouté.
Enfin, la Faf appelle "les présidents, dirigeants de clubs, entraîneurs, et les joueurs à faire preuve de beaucoup de retenue dans leurs déclarations et user des voies de recours légales et de ne pas succomber à l'invective qui ne fait honneur ni à leurs auteurs ni à la disciplinequ'il pratique et ni à leur rang d'éducateurs".


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