La DGSN nous écrit

Faisant référence au droit de réponse et suite à l'article de presse paru dans votre aimable quotidien, dans son édition n°7246 du 31.05.2016, intitulé "Arrêté par erreur par la police avant d'être libéré : l'histoire dramatique d'un candidat au bac, privé d'examen", où il est fait état que le jeune répondant aux initiales R. B., candidat aux épreuves du baccalauréat au niveau du lycée polyvalent de Chéraga, a été arrêté par erreur par les services de police suite à une altercation à proximité du centre d'examen et s'est vu interdire l'accès par le chef dudit centre, après avoir accusé un retard de trois (03) minutes. À cet effet, la Cellule de communication et relations publiques de la Sûreté de wilaya d'Alger précise qu'en date du 29.05.2016, à 15h25, le jeune R. B., en compagnie d'un autre candidat, répondant aux initiales M. R., au niveau du lycée Ali-Chekiri de Chéraga, n'ont pas été autorisés à accéder à l'établissement scolaire en raison de leur retard et que l'intervention professionnelle des services de police s'est faite qu'après l'enregistrement de cet incident suite à l'appel de l'administration du lycée dans le cadre de police-secours, et que les deux candidats n'ont jamais fait l'objet d'interpellation comme il a été rapporté dans l'article.Toutefois, les services de la Sûreté de wilaya d'Alger veillent, depuis le début des épreuves et examens des trois cycles primaire, moyen et secondaire, à mettre en œuvre toutes les dispositions sécuritaires et mesures nécessaires afin de fluidifier la circulation routière à travers la capitale et ainsi permettre aux candidats de ces épreuves d'arriver dans les temps impartis et pouvoir passer leurs examens en toute quiétude et sérénité. Le chargé de communication de la Sûreté de wilaya d'Alger