Algérie

La détermination des étudiants



Les étudiants ont de nouveau manifesté hier, comme c'est lecas chaque mardi depuis ledébut du mouvementpopulaire du 22 février dernier.Hier, c'était ainsi le 14e mardiet dans toutes les villes dupays, les étudiants étaient des milliers à battre le pavé.Les étudiants ont de nouveau manifesté hier, comme c'est lecas chaque mardi depuis ledébut du mouvementpopulaire du 22 février dernier.Hier, c'était ainsi le 14e mardiet dans toutes les villes dupays, les étudiants étaient des milliers à battre le pavé.
Les étudiants des différentes universités d'Alger ont manifestépacifiquement contre le régime en place. Plusieurs centaines d'étudiants ont entamé la marche, àpartir de la Faculté centrale.Les étudiants ont notamment scandé "on veut un Etat-civil et non un Etatmilitaire". Les étudiants ont commencé leur marche du boulevardAbdelkrim Khattabi en direction de la Grande Poste. Mais, l'accès à laGrande Poste était fermé par plusieursfourgons de police.Du coté de place Audin, une forte présencepolicière et de véhicules barraientl'accès au tunnel des Facultés. Des policiers réorientent les véhiculesvers le boulevard Mohamed V.
Plusieurs autres cordons policiers ontété déployés dans la ville, notammentdu coté de la Gare-centrale, car lesétudiants voulaient rallier la place desMartyrs, mais ils ont été dissuadés par une forte présence policière. N'ayant pas réussi à franchir les cordons despoliciers du coté de la Gare centrale,les étudiants ont alors rebroussé chemin. Arrivés au Parc Sofia, les étudiantsdécouvrent un autre dispositifpolicier. A midi, les étudiants arriventà l'Avenue Pasteur, où d'autres policiers sont mobilisés.Une demi-heure plus tard, les étudiantsse mobilisent à Audin. Autantdire qu'il s'agit d'une journée particulière.Mais tout compte fait, les étudiantsont été fidèles au rendez-vousdu mardi, et ils comptent remettre ça mardi prochain.
Dans d'autres villes du pays, les étudiantsont manifesté, mais il n' y avaitpas de présence policière pour les dissuader.A Oran, ils étaient quelquesmilliers à battre le pavé, pour revendiquerla fin du régime politique actuel,et l'avènement d'un Etat démocratique.Même scénario à Constantine,où les étudiants ont scandé "DjazairEchouhada" et "système dégage". ATizi-Ouzou, les étudiants ont marchéde l'université vers la place de l'Olivier, en scandant des sloganscontre la tenue de l'élection du 4 juillet,pour le départ du régime et pour lechangement radical du système
Les étudiants des différentes universités d'Alger ont manifestépacifiquement contre le régime en place. Plusieurs centaines d'étudiants ont entamé la marche, àpartir de la Faculté centrale.Les étudiants ont notamment scandé "on veut un Etat-civil et non un Etatmilitaire". Les étudiants ont commencé leur marche du boulevardAbdelkrim Khattabi en direction de la Grande Poste. Mais, l'accès à laGrande Poste était fermé par plusieursfourgons de police.Du coté de place Audin, une forte présencepolicière et de véhicules barraientl'accès au tunnel des Facultés. Des policiers réorientent les véhiculesvers le boulevard Mohamed V.
Plusieurs autres cordons policiers ontété déployés dans la ville, notammentdu coté de la Gare-centrale, car lesétudiants voulaient rallier la place desMartyrs, mais ils ont été dissuadés par une forte présence policière. N'ayant pas réussi à franchir les cordons despoliciers du coté de la Gare centrale,les étudiants ont alors rebroussé chemin. Arrivés au Parc Sofia, les étudiantsdécouvrent un autre dispositifpolicier. A midi, les étudiants arriventà l'Avenue Pasteur, où d'autres policiers sont mobilisés.Une demi-heure plus tard, les étudiantsse mobilisent à Audin. Autantdire qu'il s'agit d'une journée particulière.Mais tout compte fait, les étudiantsont été fidèles au rendez-vousdu mardi, et ils comptent remettre ça mardi prochain.
Dans d'autres villes du pays, les étudiantsont manifesté, mais il n' y avaitpas de présence policière pour les dissuader.A Oran, ils étaient quelquesmilliers à battre le pavé, pour revendiquerla fin du régime politique actuel,et l'avènement d'un Etat démocratique.Même scénario à Constantine,où les étudiants ont scandé "DjazairEchouhada" et "système dégage". ATizi-Ouzou, les étudiants ont marchéde l'université vers la place de l'Olivier, en scandant des sloganscontre la tenue de l'élection du 4 juillet,pour le départ du régime et pour lechangement radical du système


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