La destination Algérie reste à améliorer

L'Algérie n'a pas enregistré un grand afflux touristique cette année. La cherté de sa destination et ses prestations de service n'attirent pas grand monde. Beaucoup reste à faire sur le label et l'image d'attraction du pays.L'Algérie n'a pas enregistré un grand afflux touristique cette année. La cherté de sa destination et ses prestations de service n'attirent pas grand monde. Beaucoup reste à faire sur le label et l'image d'attraction du pays.Si la fréquentation des touristes étrangers en Algérie a enregistré une évolution assez notable pour l'année 2013 avec une moyenne d'un million d'étrangers, il faut relever une régression pendant ce mois de janvier où les indices de fréquentation sont en baisse. Pourtant, des statistiques sur le nombre des entrées en Algérie et leur séjour classent les Français en tête pour leur nombre qui avoisine en moyenne les 15.000. En deuxième position, les Espagnols suivis des Allemands et des Italiens qui préfèrent la destination Algérie.Cette appréciation vient du fait que le pôle attrayant que représente le grand Sahara en termes de stabilité et de tranquillité des lieux gagne les faveurs pour des séjours de villégiatures en ces lieux envoûtants. Avec le nouveau plan de qualité de tourisme, il s'agit de remettre de l'ordre dans un secteur qui pourrait constituer une plus-value certaine pour l'économie. Le premier point est celui de la certification obligatoire de toutes les infrastructures hôtelières. L'Algérie veut obtenir des gages pour sa prochaine saison touristique. Le plan qualité et management serait la clé pour une promotion large et bien réfléchie.Les infrastructures hôtelières doivent être certifiées, les ZET seront consenties uniquement pour l'investissement. Des efforts seront accentués en matière d'accueil. Les patrons des 1004 établissements hôteliers sont donc invités à faire valoir tous les aspects touchant la normalisation de leurs établissements. L'opération ayant été enclenchée depuis ces derniers mois, il faudra attendre la fin du premier semestre de cette année pour l'achèvement de tout le processus.Des certificats de qualité de management et de reclassement seront ainsi délivrés par une commission d'experts nationaux et étrangers selon les dires d'un responsable du ministère du Tourisme. En matière des 172 ZET implantées, seul les investisseurs pourront en bénéficier. A ce niveau, l'Algérie abrite plus de 500 sites touristiques dont à peine 20% sont accessibles aux touristes. Toutefois, il ne suffira pas d'une assiette de terrain pour prétendre à un investissement dans le secteur mais de rentabiliser un véritable projet touristique.Le responsable du ministère signale que le contrôle s'effectuera en amont et en aval pour vérifier l'authenticité des réalisations. Une mention spéciale sera accordée aux 40 ZET implantées au Sud avec une possibilité de concession aux investisseurs étrangers à condition de trouver des partenaires algériens.De l'autre côté, le tourisme balnéaire et thermal seront également améliorés grâce à ce nouveau plan. La saison estivale sera désormais préparée 6 mois à l'avance pour parer à toute lacune ou insuffisance. Sur le long du littoral, il sera permis d'édifier des auberges et petits hôtels pas trop encombrants.Les experts en architecture et en urbanisme seront associés à tous ces projets. Dans chaque zone de la côte, il y aura un ensemble touristique avec des tarifs étudiés pour courts et longs séjours. De même, le tourisme thermal avec ces 200 sources bénéficiera d'un traitement de faveur vu le nombre grandissant des affluences pendant les basses saisons.A noter que ces sources qui sont souvent classées comme patrimoine seront bien balisées à l'avenir pour éviter toute spéculation foncière et marchandage véreux pouvant nuire au secteur du tourisme. Pour rendre davantage attractif la destination Algérie, des opérateurs économiques, tours operators et associations culturelles seront impliqués dans ce nouveau plan. Décidément, le marché touristique est en faveur de l'Algérie dont le pôle est encore vierge par rapport à d'autres destinations qui sont en pleine saturation. Il suffit de réfléchir à ce niveau.Si la fréquentation des touristes étrangers en Algérie a enregistré une évolution assez notable pour l'année 2013 avec une moyenne d'un million d'étrangers, il faut relever une régression pendant ce mois de janvier où les indices de fréquentation sont en baisse. Pourtant, des statistiques sur le nombre des entrées en Algérie et leur séjour classent les Français en tête pour leur nombre qui avoisine en moyenne les 15.000. En deuxième position, les Espagnols suivis des Allemands et des Italiens qui préfèrent la destination Algérie.Cette appréciation vient du fait que le pôle attrayant que représente le grand Sahara en termes de stabilité et de tranquillité des lieux gagne les faveurs pour des séjours de villégiatures en ces lieux envoûtants. Avec le nouveau plan de qualité de tourisme, il s'agit de remettre de l'ordre dans un secteur qui pourrait constituer une plus-value certaine pour l'économie. Le premier point est celui de la certification obligatoire de toutes les infrastructures hôtelières. L'Algérie veut obtenir des gages pour sa prochaine saison touristique. Le plan qualité et management serait la clé pour une promotion large et bien réfléchie.Les infrastructures hôtelières doivent être certifiées, les ZET seront consenties uniquement pour l'investissement. Des efforts seront accentués en matière d'accueil. Les patrons des 1004 établissements hôteliers sont donc invités à faire valoir tous les aspects touchant la normalisation de leurs établissements. L'opération ayant été enclenchée depuis ces derniers mois, il faudra attendre la fin du premier semestre de cette année pour l'achèvement de tout le processus.Des certificats de qualité de management et de reclassement seront ainsi délivrés par une commission d'experts nationaux et étrangers selon les dires d'un responsable du ministère du Tourisme. En matière des 172 ZET implantées, seul les investisseurs pourront en bénéficier. A ce niveau, l'Algérie abrite plus de 500 sites touristiques dont à peine 20% sont accessibles aux touristes. Toutefois, il ne suffira pas d'une assiette de terrain pour prétendre à un investissement dans le secteur mais de rentabiliser un véritable projet touristique.Le responsable du ministère signale que le contrôle s'effectuera en amont et en aval pour vérifier l'authenticité des réalisations. Une mention spéciale sera accordée aux 40 ZET implantées au Sud avec une possibilité de concession aux investisseurs étrangers à condition de trouver des partenaires algériens.De l'autre côté, le tourisme balnéaire et thermal seront également améliorés grâce à ce nouveau plan. La saison estivale sera désormais préparée 6 mois à l'avance pour parer à toute lacune ou insuffisance. Sur le long du littoral, il sera permis d'édifier des auberges et petits hôtels pas trop encombrants.Les experts en architecture et en urbanisme seront associés à tous ces projets. Dans chaque zone de la côte, il y aura un ensemble touristique avec des tarifs étudiés pour courts et longs séjours. De même, le tourisme thermal avec ces 200 sources bénéficiera d'un traitement de faveur vu le nombre grandissant des affluences pendant les basses saisons.A noter que ces sources qui sont souvent classées comme patrimoine seront bien balisées à l'avenir pour éviter toute spéculation foncière et marchandage véreux pouvant nuire au secteur du tourisme. Pour rendre davantage attractif la destination Algérie, des opérateurs économiques, tours operators et associations culturelles seront impliqués dans ce nouveau plan. Décidément, le marché touristique est en faveur de l'Algérie dont le pôle est encore vierge par rapport à d'autres destinations qui sont en pleine saturation. Il suffit de réfléchir à ce niveau.