Après avoir achevé les deux premières étapes de la démarche d'inscription dans un établissement de l'enseignement supérieur (envoi de la fiche et la confirmation de leur choix par voie d'Internet), les nouveaux bacheliers entameront, à partir de ce dimanche, la dernière étape. Ceux qui ont obtenu des orientations vers des spécialités satisfaisantes peuvent imprimer leur bulletin d'affectation pour procéder, à partir du 26 au 30 juillet en cours à l'inscription définitive.
Après avoir achevé les deux premières étapes de la démarche d'inscription dans un établissement de l'enseignement supérieur (envoi de la fiche et la confirmation de leur choix par voie d'Internet), les nouveaux bacheliers entameront, à partir de ce dimanche, la dernière étape. Ceux qui ont obtenu des orientations vers des spécialités satisfaisantes peuvent imprimer leur bulletin d'affectation pour procéder, à partir du 26 au 30 juillet en cours à l'inscription définitive.
Et c'est demain et après-demain aussi que les bacheliers non-satisfaits de leur orientation peuvent introduire des recours auprès des services concernés. Mais cette année, les responsables du secteur de l'Enseignement supérieur ont insisté sur le fait que le recours ne sera accepté que dans le cas où aucun des dix choix introduits par le bachelier ne lui était attribué. C'est dire que l'opération des recours ne mènera pas à des mutations profondes comparativement aux deux premières étapes du processus de la préinscription et que les désormais nouveaux étudiants sont appelés à se contenter du «sort» que leur a réservés le logiciel d'orientation. Et même dans le cas où le bachelier exprime son refus de la filière, il sera également fait appel au même logiciel pour trouver une autre orientation parmi les dix choix introduits initialement par l'intéressé. On s'attend donc à de petit nombre de recours, puisque les normes ont été fixées d'avance, et les étudiants auront à s'inscrire de manière ordinaire. D'autres facteurs dissuadent les concernés à s'inscrire dans une logique de contestation, estiment les observateurs. Il y a la chaleur suffocante de cette deuxième quinzaine de juillet, le carême, le manque de moyens de transport, mais aussi et surtout la volonté des nouveaux bacheliers d'en finir avec «ce marathon» pour prendre quelques jours de plein repos. Eux qui n'ont pas eu de repos depuis l'annonce des résultats du baccalauréat et n'avaient même pas le temps de «savourer» leur succès. Tout s'est passé très vite pour eux, et ils ne veulent qu'en finir avec les inscriptions pour se mettre à se préparer à leurs premiers pas dans l'enseignement supérieur. Le ministère de tutelle avait tenté de rassurer, dans la circulaire donnée aux bacheliers et annoncée sur son site Internet, que l'orientation serait effectuée sur la base de critères purement pédagogiques relatifs aux prédispositions des bacheliers et ce afin de leur garantir une réussite dans leur prochaine vocation. Toutefois, certaines filières très prisées connaissent des demandes impossibles à satisfaire entièrement au vu du nombre des places pédagogiques qui leur sont consacrées à la prochaine rentrée universitaire. Et dans ce cas précis, quelques points feront la différence et pencheront pour le «mieux classé» parmi les postulants. Par ailleurs, ceux qui choisissent des filières soumises à des tests et entretiens doivent aussi se rapprocher des établissements concernés à partir de ce lundi. En cas de leur échec, ils seront orientés vers d'autres spécialités où ils doivent finaliser leur inscription le 30 juillet en cours. 230.989 nouveaux étudiants s'ajouteront à la communauté universitaire dès la prochaine rentrée.
Et c'est demain et après-demain aussi que les bacheliers non-satisfaits de leur orientation peuvent introduire des recours auprès des services concernés. Mais cette année, les responsables du secteur de l'Enseignement supérieur ont insisté sur le fait que le recours ne sera accepté que dans le cas où aucun des dix choix introduits par le bachelier ne lui était attribué. C'est dire que l'opération des recours ne mènera pas à des mutations profondes comparativement aux deux premières étapes du processus de la préinscription et que les désormais nouveaux étudiants sont appelés à se contenter du «sort» que leur a réservés le logiciel d'orientation. Et même dans le cas où le bachelier exprime son refus de la filière, il sera également fait appel au même logiciel pour trouver une autre orientation parmi les dix choix introduits initialement par l'intéressé. On s'attend donc à de petit nombre de recours, puisque les normes ont été fixées d'avance, et les étudiants auront à s'inscrire de manière ordinaire. D'autres facteurs dissuadent les concernés à s'inscrire dans une logique de contestation, estiment les observateurs. Il y a la chaleur suffocante de cette deuxième quinzaine de juillet, le carême, le manque de moyens de transport, mais aussi et surtout la volonté des nouveaux bacheliers d'en finir avec «ce marathon» pour prendre quelques jours de plein repos. Eux qui n'ont pas eu de repos depuis l'annonce des résultats du baccalauréat et n'avaient même pas le temps de «savourer» leur succès. Tout s'est passé très vite pour eux, et ils ne veulent qu'en finir avec les inscriptions pour se mettre à se préparer à leurs premiers pas dans l'enseignement supérieur. Le ministère de tutelle avait tenté de rassurer, dans la circulaire donnée aux bacheliers et annoncée sur son site Internet, que l'orientation serait effectuée sur la base de critères purement pédagogiques relatifs aux prédispositions des bacheliers et ce afin de leur garantir une réussite dans leur prochaine vocation. Toutefois, certaines filières très prisées connaissent des demandes impossibles à satisfaire entièrement au vu du nombre des places pédagogiques qui leur sont consacrées à la prochaine rentrée universitaire. Et dans ce cas précis, quelques points feront la différence et pencheront pour le «mieux classé» parmi les postulants. Par ailleurs, ceux qui choisissent des filières soumises à des tests et entretiens doivent aussi se rapprocher des établissements concernés à partir de ce lundi. En cas de leur échec, ils seront orientés vers d'autres spécialités où ils doivent finaliser leur inscription le 30 juillet en cours. 230.989 nouveaux étudiants s'ajouteront à la communauté universitaire dès la prochaine rentrée.
Posté Le : 22/07/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ahmed Haniche
Source : www.lemidi-dz.com