En plus de la crise sanitaire, "l'économie ne fonctionne pas et la croissance est devenue récession", déclareAbderrahmane Benkhalfa, envoyé spécial de l'Union africaine (UA).En plus de la crise sanitaire, "l'économie ne fonctionne pas et la croissance est devenue récession", déclareAbderrahmane Benkhalfa, envoyé spécial de l'Union africaine (UA).
Reçu hier dans l'émission l'Invité de la rédaction de la radio Chaîne 3, l'expert financier prévient sur une aggravation de la situation au deuxième semestre de l'année 2020. "On parlait de taux de croissance de 1 à 3 % dans certains pays, mais on considère que le deuxième semestre va connaitre une récession qui va atteindre les 4 à 5 % en négatif", a-t-il estimé. Le coût de cette économie en veilleuse venant s'ajouter au coût de la lutte contre la pandémie va se faire ressentir dans les jours à venir, d'après Benkhalfa qui souligne que "les pays producteurs de pétrole sont les plus touchés par cette décroissance mondiale". Cette nouvelle situation exige, selon lui, "un plan de décollage économique poste coronavirus. L'Algérie doit suivre l'exemple des pays qui travaillent aujourd'hui sur deux vitesses", recommande-t-il. "Une vitesse conjoncturelle pour couvrir les coûts de la pandémie et en même temps l'ouverture des grands chantiers structurels pour passer aux nouveaux modèles de financement de l'économie", explique l'invité de la Chaîne 3.
Reçu hier dans l'émission l'Invité de la rédaction de la radio Chaîne 3, l'expert financier prévient sur une aggravation de la situation au deuxième semestre de l'année 2020. "On parlait de taux de croissance de 1 à 3 % dans certains pays, mais on considère que le deuxième semestre va connaitre une récession qui va atteindre les 4 à 5 % en négatif", a-t-il estimé. Le coût de cette économie en veilleuse venant s'ajouter au coût de la lutte contre la pandémie va se faire ressentir dans les jours à venir, d'après Benkhalfa qui souligne que "les pays producteurs de pétrole sont les plus touchés par cette décroissance mondiale". Cette nouvelle situation exige, selon lui, "un plan de décollage économique poste coronavirus. L'Algérie doit suivre l'exemple des pays qui travaillent aujourd'hui sur deux vitesses", recommande-t-il. "Une vitesse conjoncturelle pour couvrir les coûts de la pandémie et en même temps l'ouverture des grands chantiers structurels pour passer aux nouveaux modèles de financement de l'économie", explique l'invité de la Chaîne 3.
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Posté Le : 30/04/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com