Un grand nombre de clients éprouvent des difficultés à obtenir leurs carnets de chèques.Un grand nombre de clients éprouvent des difficultés à obtenir leurs carnets de chèques.
Ct t e s i t u a t i o les empêche d'effectuer les opérations de retrait pour satisfaire leurs besoins. Les chéquiers leur parviennent deux mois, trois mois, voire plus après en avoir fait la demande au niveau des bureaux de poste. Au coeur de la problématique, la société chargée d'organiser et de réguler sa confection et sa délivrance, en l'occurrence la Satim, la Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique, justifie ce handicap par le bais de sa directrice Nawel Benkritly, en raison de la forte demande, atteignant parfois 12.000 nouvelles commandes par jour, sachant que la capacité de production de Satim, premier producteur de carnets de chèques aux côtés de la Banque d'Algérie, ne dépassant les 6.000 par jour. La DG, de Satim, Nawel Benkritly, a assuré que le travail se faitle plus normalement du monde, notant que tout retard peut être dû au retard dans l'arrivée des demandes.
"Nous recevons quotidiennement entre quatre mille à 5.000 carnets, et dans d'autres cas jusqu'à 12 000, et si nous atteignons des niveaux record, nous ne prenons que plus de temps", a-t-elleexpliqué. Tout en visant à renforcer l'image de son institution, Nawel Benkritly, expose la capacité de Satimqui équivaut à 6.000 carnets de chèques et 10.000 cartes magnétiques par jour.
En termes de chiffres, le niveau de production atteint en 2017, pas moins de 2,4 millions de carnets et 1,7 million de cartes bancaires, que l'entreprise compte augmenter en 2018, précise-t-elle. Poursa part, Boualem Djebbar, président de l'Association des banques et établissements financier (Abef), a appelé à ne pas diluer la question de la crise des carnets de chèques et que la crise refait surface, car le processus a connu des progrès remarquables ces dernières années.
"Et le meilleur est à venir" préconise t-il. Puisque selon lui, Satim, la Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique, sera dotée d'un matériel moderne. Et un nouveausystème d'information devrait être adopté d'ici mars, ce qui augmentera la capacité actuelle de l'entreprise de 1,5 million de carnets de chèques et de 3millions de cartes électroniques chaqueannée. En dépit des mutations économiques et autres développements technologiques que l'Algérie a pourtant suivis,le marché monétique reste en deçà des aspirations de ses différents acteurs.
La culture du paiement cash ou en espèces reste très ancrée et plus généralisée, voire appréciée par les Algériens, du simple citoyen aux grandes institutions ou entreprises et commerçants... Pourtant, il suffirait d'introduire une simple carte dans un terminal de paiement électronique pour éviter toutes les tracasseries. N'est-il pas grand temps, aujourd'hui, pour l'Algérie de suivre également l'évolution du marché monétique '
Ct t e s i t u a t i o les empêche d'effectuer les opérations de retrait pour satisfaire leurs besoins. Les chéquiers leur parviennent deux mois, trois mois, voire plus après en avoir fait la demande au niveau des bureaux de poste. Au coeur de la problématique, la société chargée d'organiser et de réguler sa confection et sa délivrance, en l'occurrence la Satim, la Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique, justifie ce handicap par le bais de sa directrice Nawel Benkritly, en raison de la forte demande, atteignant parfois 12.000 nouvelles commandes par jour, sachant que la capacité de production de Satim, premier producteur de carnets de chèques aux côtés de la Banque d'Algérie, ne dépassant les 6.000 par jour. La DG, de Satim, Nawel Benkritly, a assuré que le travail se faitle plus normalement du monde, notant que tout retard peut être dû au retard dans l'arrivée des demandes.
"Nous recevons quotidiennement entre quatre mille à 5.000 carnets, et dans d'autres cas jusqu'à 12 000, et si nous atteignons des niveaux record, nous ne prenons que plus de temps", a-t-elleexpliqué. Tout en visant à renforcer l'image de son institution, Nawel Benkritly, expose la capacité de Satimqui équivaut à 6.000 carnets de chèques et 10.000 cartes magnétiques par jour.
En termes de chiffres, le niveau de production atteint en 2017, pas moins de 2,4 millions de carnets et 1,7 million de cartes bancaires, que l'entreprise compte augmenter en 2018, précise-t-elle. Poursa part, Boualem Djebbar, président de l'Association des banques et établissements financier (Abef), a appelé à ne pas diluer la question de la crise des carnets de chèques et que la crise refait surface, car le processus a connu des progrès remarquables ces dernières années.
"Et le meilleur est à venir" préconise t-il. Puisque selon lui, Satim, la Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique, sera dotée d'un matériel moderne. Et un nouveausystème d'information devrait être adopté d'ici mars, ce qui augmentera la capacité actuelle de l'entreprise de 1,5 million de carnets de chèques et de 3millions de cartes électroniques chaqueannée. En dépit des mutations économiques et autres développements technologiques que l'Algérie a pourtant suivis,le marché monétique reste en deçà des aspirations de ses différents acteurs.
La culture du paiement cash ou en espèces reste très ancrée et plus généralisée, voire appréciée par les Algériens, du simple citoyen aux grandes institutions ou entreprises et commerçants... Pourtant, il suffirait d'introduire une simple carte dans un terminal de paiement électronique pour éviter toutes les tracasseries. N'est-il pas grand temps, aujourd'hui, pour l'Algérie de suivre également l'évolution du marché monétique '
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 07/02/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : IDIR AMMOUR
Source : www.lemidi-dz.com