«La courbe de Gausse» (I)

Ces dernières années, beaucoup d'événements se sont hâtés au point de brouiller les esprits en quête de vérité. Faire perdre à tout un chacun ses repères toutes catégories confondues demeure le principal objectif de ces «flamands roses» qui cherchent à nous imposer un nouveau désordre mondial.
Si l'on parle de «Nouvel Ordre», le projet ne date pas d'hier. Il a traversé des siècles à une allure progressivement insoupçonnée. Toutefois, le moment semble opportun pour accélérer la cadence. Cela a commencé avec ce fameux 11 septembre qui a précipité les concepts de lutte anti-terroriste. Suite à quoi le «Busher» de la Maison Noire, pion invétéré du sionisme, a déclaré la guerre à l' «Axe du mal». Le principe de mettre au pas les forces récalcitrantes à la doctrine «nouvelliste» est alors mis à jour avec cette nouvelle approche des relations internationales. Rien n'est plus futile que de vouloir jouer les prophètes ; chacun sait qu'il est impossible de prédire l'avenir. Mais pour se faire une idée approximative de la direction où va le monde, il est bon de revisiter le passé et d'essayer de comprendre le présent. Cela peut sembler banal à première vue, mais c'est loin d'être évident. Tout ou presque, autour de nous, est fait pour nous empêcher d'interpréter correctement le présent, pour nous empêcher de voir clair dans les événements et les mutations qui se déroulent sous nos yeux. Tout est fait pour nous cacher les rapports qui régissent les forces en présence. Tout est fait pour nous cacher la nature de ces forces, voire même leur simple existence. L'appareil de persuasion de l'opinion publique est plus puissant et plus sophistiqué qu'il ne l'a jamais été auparavant. Ses exécutants - conscients ou, le plus souvent, inconscients - sont légion. La secte des «flamands roses» ne se contente pas de falsifier l'histoire, elle falsifie aussi systématiquement l'actualité. Entre autres objectifs de ces «illuminés», le pillage économique à grande échelle. Les récents événements qui ont secoué le monde arabe et certains pays africains en témoignent largement. Pour y parvenir, il leur est nécessaire d'instaurer le vandalisme politique, qui ne sera lui-même réalisable que grâce au totalitarisme idéologique et à la destruction culturelle. Avec, au bout du compte, la barbarie. C'est un processus complexe qui est en cours de réalisation, sans agenda public. Difficile à maîtriser et dans une certaine mesure aléatoire, il pourrait échapper à ses promoteurs, vu que le monde ne dort pas sur ses deux oreilles comme ils le croient. Où en sommes-nous ' Sur le plan économique, puisque c'est lui qui semble constituer le maillon faible de la chaîne humanitaire, les groupes multinationaux - ou plutôt extranationaux ' 'uvrent avec acharnement au remplacement des Etats tels que nous les connaissons. Leurs objectifs est que les décisions importantes ne se prendront plus au sein des gouvernements mais dans quelques cercles exclusifs et fermés dont le monde soupçonne à peine l'existence. (suivra)