Algérie

"La coopération se porte bien", selon le président de la CCIAF



"Notre objectif est d'être plus efficaces, plus professionnels dans notre capacité d'informer les entreprises françaises et algériennes en vue de les rapprocher davantage, mieux apprécier les potentialités et identifier les opportunités de partenariat", a-t-il affirmé au cours d'une conférence de presse.
Le partenariat économique algéro-français "se porte bien", a estimé, dimanche à Alger, le président de la Chambre de commerce et d'industrie algéro-française (CCIAF), Jean Marie Pinel, réaffirmant la nécessité de poursuivre la dynamique engagée pour la consolidation de ce partenariat entre entreprises des deux pays.
Selon M. Pinel, la CCIAF 'uvre pour le développement des relations entre les entreprises algériennes et françaises en facilitant le contact et la connaissance mutuelle des hommes d'affaires et en les informant des conditions économiques, financières, juridiques, et fiscales dans lesquelles elles peuvent mener leurs activités économiques. Pour cela, la CCIAF dispose, a-t-il ajouté, de cinq pôles d'expertises : économie, veille réglementaire, formation, networking et appui logistique.
Ces pôles ont pour principales missions l'analyse des flux économiques, la connaissance des besoins des entreprises afin d'orienter et conseiller les adhérents de la chambre, apporter un coaching aux nouveaux entrepreneurs, organisation de commissions fiscale, juridique, réglementation, ressources humaines, formations diplômantes et techniques, enseignement du français professionnel des affaires, mise à disposition d'espaces de travail et l'aide aux formalités de visas. "En 2011, 93,49% des demandes de visas sur les 719 adressées par l'intermédiaire de la CCIAF ont été acceptées. En 2012, ce sont 99% des 223 demandes faites au cours du 1er semestre qui ont été accordées", a-t-il souligné. "L'avenir est dans la coopération internationale. Pour le bien de tout le monde, il faut que l'Europe importe de l'Algérie. La CCIAF a pour objectif de participer au développement des exportations algériennes vers la France", a-t-il encore déclaré.
En tant que premier responsable de la CCIAF et ancien dirigeant dans le secteur de la distribution, M. Pinel a confié avoir pris attache avec des entreprises de la grande distribution pour les informer sur "certains produits algériens de bonne qualité qui pourront être commercialisés en France". Evoquant la volonté des entreprises des deux pays de développer leur coopération et de créer de nouveaux partenariats, le président de la CCIAF a affirmé qu'"il y aurait eu une quinzaine de relations d'affaires qui ont abouti à des partenariats" après la dernière mission en Algérie de l'envoyé spécial du président français et ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin.Interrogé sur son appréciation du climat des affaires en Algérie, M. Pinel a refusé de commenter le cadre réglementaire algérien et de lâcher par la suite que "la réglementation algérienne est relativement contraignante" et que "le pays n'est pas un exemple de fluidité en matière de procédures administratives". De son côté, le directeur général de la CCIAF, Réda El Baki, a indiqué que la chambre compte 200 adhérents français et 700 adhérents algériens. Selon M. El Baki, la CCIAF est "très présente sur le terrain" pour développer la transmission du savoir-faire professionnel et une action de formation de mise à niveau aux métiers de l'entreprise pour les membres de l'association, agréée le 21 février 2011 après un changement de statut pour se mettre en conformité avec la réglementation algérienne sur les associations. "En moyenne, deux commissions techniques et un séminaire sont organisés par mois", a-t-il conclu.
"Notre objectif est d'être plus efficaces, plus professionnels dans notre capacité d'informer les entreprises françaises et algériennes en vue de les rapprocher davantage, mieux apprécier les potentialités et identifier les opportunités de partenariat", a-t-il affirmé au cours d'une conférence de presse.
Le partenariat économique algéro-français "se porte bien", a estimé, dimanche à Alger, le président de la Chambre de commerce et d'industrie algéro-française (CCIAF), Jean Marie Pinel, réaffirmant la nécessité de poursuivre la dynamique engagée pour la consolidation de ce partenariat entre entreprises des deux pays.
Selon M. Pinel, la CCIAF 'uvre pour le développement des relations entre les entreprises algériennes et françaises en facilitant le contact et la connaissance mutuelle des hommes d'affaires et en les informant des conditions économiques, financières, juridiques, et fiscales dans lesquelles elles peuvent mener leurs activités économiques. Pour cela, la CCIAF dispose, a-t-il ajouté, de cinq pôles d'expertises : économie, veille réglementaire, formation, networking et appui logistique.
Ces pôles ont pour principales missions l'analyse des flux économiques, la connaissance des besoins des entreprises afin d'orienter et conseiller les adhérents de la chambre, apporter un coaching aux nouveaux entrepreneurs, organisation de commissions fiscale, juridique, réglementation, ressources humaines, formations diplômantes et techniques, enseignement du français professionnel des affaires, mise à disposition d'espaces de travail et l'aide aux formalités de visas. "En 2011, 93,49% des demandes de visas sur les 719 adressées par l'intermédiaire de la CCIAF ont été acceptées. En 2012, ce sont 99% des 223 demandes faites au cours du 1er semestre qui ont été accordées", a-t-il souligné. "L'avenir est dans la coopération internationale. Pour le bien de tout le monde, il faut que l'Europe importe de l'Algérie. La CCIAF a pour objectif de participer au développement des exportations algériennes vers la France", a-t-il encore déclaré.
En tant que premier responsable de la CCIAF et ancien dirigeant dans le secteur de la distribution, M. Pinel a confié avoir pris attache avec des entreprises de la grande distribution pour les informer sur "certains produits algériens de bonne qualité qui pourront être commercialisés en France". Evoquant la volonté des entreprises des deux pays de développer leur coopération et de créer de nouveaux partenariats, le président de la CCIAF a affirmé qu'"il y aurait eu une quinzaine de relations d'affaires qui ont abouti à des partenariats" après la dernière mission en Algérie de l'envoyé spécial du président français et ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin.Interrogé sur son appréciation du climat des affaires en Algérie, M. Pinel a refusé de commenter le cadre réglementaire algérien et de lâcher par la suite que "la réglementation algérienne est relativement contraignante" et que "le pays n'est pas un exemple de fluidité en matière de procédures administratives". De son côté, le directeur général de la CCIAF, Réda El Baki, a indiqué que la chambre compte 200 adhérents français et 700 adhérents algériens. Selon M. El Baki, la CCIAF est "très présente sur le terrain" pour développer la transmission du savoir-faire professionnel et une action de formation de mise à niveau aux métiers de l'entreprise pour les membres de l'association, agréée le 21 février 2011 après un changement de statut pour se mettre en conformité avec la réglementation algérienne sur les associations. "En moyenne, deux commissions techniques et un séminaire sont organisés par mois", a-t-il conclu.


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