En 1995, l’association ACHAC (Association Connaissance de l’Histoire de l’Afrique Contemporaine) publiait un livre abondamment illustré et intitulé L’Autre et Nous[1]. Quarante articles dus à des spécialistes relevant de diverses disciplines y analysent les stéréotypes qui se sont appliqués – et s’appliquent encore souvent – aux populations qui furent les « autres coloniaux » de la France. Malgré de notables différences contextuelles, un point commun unit ces contributions : les stéréotypes envisagés sont très largement dévalorisants voire stigmatisants. Un court article consacré à la représentation des Touaregs dans le cinéma colonial échappe cependant à cette thématique comme son titre lui-même l’indique : « Les Touaregs ou l’exception targuie ». Non sans une certaine gêne, l’auteur doit reconnaître que dans le cinéma colonial les Touaregs bénéficient d’un « traitement privilégié » et qu’ils y sont considérés comme des « sujets ethnographiques suffisamment intéressants pour que leur présence soit signalée comme argument publicitaire » (Foucher 1995 : 175).
Et voilà encore, l´Algérie pay riche (surtout en pétrole et gaz) et la population vie dans la misère, meme dans la capitale, peu de gens profite de la richesse de ce pay.
douadi - Ing
16/11/2006 - 18
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Posté Le : 20/07/2007
Posté par : hichem
Ecrit par : Paul PANDOLFI, Maître de conférences, université de Montpellier 3, CERCE.
Source : alor.univ-montp3.fr/cerce/revue.htm