Algérie

La Constitution quasiment adoptée



La Constitution quasiment adoptée
La Tunisie est en voie d'adopter sa nouvelle Constitution. L'Assemblée nationale a achevé jeudi de voter tous les articles de la nouvelle Constitution. Un dernier vote aura lieu sur l'ensemble du texte, qui sera alors définitivement adopté.La Tunisie est en voie d'adopter sa nouvelle Constitution. L'Assemblée nationale a achevé jeudi de voter tous les articles de la nouvelle Constitution. Un dernier vote aura lieu sur l'ensemble du texte, qui sera alors définitivement adopté.Trois ans après le soulèvement annonciateur du "printemps arabe", les parlementaires avaient entamé le 3 janvier l'examen article par article de la nouvelle loi fondamentale, censée achever une turbulente transition vers la démocratie.Des profondes divergences, aujourd'hui surmontées, concernant la place de l'Islam ont pesé sur le débat constitutionnel. Le premier article de la loi fondamentale dispose que la Tunisie est "un pays libre, indépendant et souverain" ayant l'Islam pour religion, l'arabe pour langue et la République pour régime.Les tensions entre islamistes et laïques ont été exacerbées l'an dernier par l'assassinat de deux figures influentes de l'opposition. En février, le meurtre de l'opposant Chokri Belaïd a donné lieu à de grandes manifestations à Tunis et à une crise gouvernementale. Celui de Mohamed Brahmi, fondateur du Mouvement du peuple (Echaâb) et élu de l'Assemblée nationale constituante (ANC), en juillet, a encore accentué les antagonismes.Trois ans après le soulèvement annonciateur du "printemps arabe", les parlementaires avaient entamé le 3 janvier l'examen article par article de la nouvelle loi fondamentale, censée achever une turbulente transition vers la démocratie.Des profondes divergences, aujourd'hui surmontées, concernant la place de l'Islam ont pesé sur le débat constitutionnel. Le premier article de la loi fondamentale dispose que la Tunisie est "un pays libre, indépendant et souverain" ayant l'Islam pour religion, l'arabe pour langue et la République pour régime.Les tensions entre islamistes et laïques ont été exacerbées l'an dernier par l'assassinat de deux figures influentes de l'opposition. En février, le meurtre de l'opposant Chokri Belaïd a donné lieu à de grandes manifestations à Tunis et à une crise gouvernementale. Celui de Mohamed Brahmi, fondateur du Mouvement du peuple (Echaâb) et élu de l'Assemblée nationale constituante (ANC), en juillet, a encore accentué les antagonismes.




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