Algérie

La Constitution de la haine



La Constitution de la haine
Mais la dictature militaire instaurée en 1962 avait joué la carte de la haine antimusulmane, et la loi birmane sur la nationalité de 1982 avait laissé les Rohingyas apatrides. Diplomatiquement, Aung San Suu Kyi marque ses distances avec le chef de l'armée, le général Min Aung Hlaing , qui est, dans l'ombre, homme clé dans ce dossier. La question des Rohingyas «est une cause nationale et nous devons être unis dans l'établissement de la vérité», à savoir que cette communauté apatride n'a rien de birmane, avait averti samedi le chef de l'armée sur Facebook. Les Rohingyas, plus grande population apatride au monde, sont traités comme des étrangers en Birmanie, un pays à plus de 90% bouddhiste. Victimes de discrimination depuis que la nationalité birmane leur a été retirée en 1982, ils ne peuvent pas voyager ou se marier sans autorisation, et ils n'ont accès ni au marché du travail ni aux services publics (écoles et hôpitaux). Les ONG dénoncen


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