Algérie - A la une

La communauté internationale exprime sa satisfaction



La communauté internationale exprime sa satisfaction
Plusieurs pays et organisations ont accueilli avec satisfaction la libération, samedi dernier, des deux diplomates algériens, enlevés en avril 2012 à Gao (nord du Mali) par un groupe terroriste, réitérant leur condamnation du terrorisme sous toutes ses formes.Plusieurs pays et organisations ont accueilli avec satisfaction la libération, samedi dernier, des deux diplomates algériens, enlevés en avril 2012 à Gao (nord du Mali) par un groupe terroriste, réitérant leur condamnation du terrorisme sous toutes ses formes.Dans ce cadre, les Etats-Unis se sont félicités de la libération des deux diplomates Mourad Guessas et Kedour Miloudi, a indiqué la porte-parole du département d'Etat, Jennifer Psaki, dans une déclaration."Nous réaffirmons notre partenariat constant avec l'Algérie et nous restons engagés à poursuivre notre forte coopération dans le domaine de la lutte contre terrorisme et notre ferme opposition au payement des rançons aux terroristes", a-t-elle affirmé. Pour sa part, la France s'est réjouie de la récente libération des deux diplomates algériens."La France se réjouit de la libération des deux otages algériens, retenus au Mali depuis le 6 avril 2012", a indiqué le porteparole du Quai d'Orsay, Romain Nadal, dans un point de presse, réitérant le soutien de son pays à l'Algérie et aux pays de la région dans la lutte contre le terrorisme.Le royaume de Belgique a également salué, par la voix de son vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, la libération des deux diplomates algériens, exprimant la "ferme volonté" de son pays de lutter avec l'Algérie contre le fléau mondial du terrorisme. De son côté, l'Espagne a félicité l'Algérie suite à la libération des deux diplomates.Le gouvernement espagnol a réitéré à cette occasion sa "ferme condamnation" du terrorisme sous toutes ses formes et son engagement en faveur de la paix et de la stabilité au Mali et dans toute la région du Sahel, reconnaissant le travail "responsable" de l'Algérie dans ce sens.La Tunisie s'est, pour sa part, réjouie, de la libération des deux diplomates algériens enlevés en 2012 au nord du Mali, condamnant les opérations d'enlèvement et de prise d'otages par les groupes terroristes. Le Mali, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, s'est aussi félicité de la libération, des deux otages algériens.L'Union européenne (UE) a également salué la récente libération des deux diplomates algériens, condamnant toute forme de terrorisme et réaffirmant son engagement ferme en faveur de la paix et la stabilité au Mali et dans la région du Sahel. L'UE a, par ailleurs, exprimé son soutien aux efforts de médiation entre les différentes parties maliennes, dans lesquels l'Algérie joue un "rôle important".Mourad Guessas et Kedour Miloudi, les deux derniers otages algériens parmi les sept diplomates enlevés le 6 avril 2012 à Gao (nord du Mali) ont été libérés samedi dernier. Leur libération fait suite à celle des trois otages libérés quelques jours après leur enlèvement. Par contre, le consul Boualem Saies est décédé des suites d'une maladie chronique alors que le diplomate Tahar Touati a été assassiné.Dans ce cadre, les Etats-Unis se sont félicités de la libération des deux diplomates Mourad Guessas et Kedour Miloudi, a indiqué la porte-parole du département d'Etat, Jennifer Psaki, dans une déclaration."Nous réaffirmons notre partenariat constant avec l'Algérie et nous restons engagés à poursuivre notre forte coopération dans le domaine de la lutte contre terrorisme et notre ferme opposition au payement des rançons aux terroristes", a-t-elle affirmé. Pour sa part, la France s'est réjouie de la récente libération des deux diplomates algériens."La France se réjouit de la libération des deux otages algériens, retenus au Mali depuis le 6 avril 2012", a indiqué le porteparole du Quai d'Orsay, Romain Nadal, dans un point de presse, réitérant le soutien de son pays à l'Algérie et aux pays de la région dans la lutte contre le terrorisme.Le royaume de Belgique a également salué, par la voix de son vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, la libération des deux diplomates algériens, exprimant la "ferme volonté" de son pays de lutter avec l'Algérie contre le fléau mondial du terrorisme. De son côté, l'Espagne a félicité l'Algérie suite à la libération des deux diplomates.Le gouvernement espagnol a réitéré à cette occasion sa "ferme condamnation" du terrorisme sous toutes ses formes et son engagement en faveur de la paix et de la stabilité au Mali et dans toute la région du Sahel, reconnaissant le travail "responsable" de l'Algérie dans ce sens.La Tunisie s'est, pour sa part, réjouie, de la libération des deux diplomates algériens enlevés en 2012 au nord du Mali, condamnant les opérations d'enlèvement et de prise d'otages par les groupes terroristes. Le Mali, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, s'est aussi félicité de la libération, des deux otages algériens.L'Union européenne (UE) a également salué la récente libération des deux diplomates algériens, condamnant toute forme de terrorisme et réaffirmant son engagement ferme en faveur de la paix et la stabilité au Mali et dans la région du Sahel. L'UE a, par ailleurs, exprimé son soutien aux efforts de médiation entre les différentes parties maliennes, dans lesquels l'Algérie joue un "rôle important".Mourad Guessas et Kedour Miloudi, les deux derniers otages algériens parmi les sept diplomates enlevés le 6 avril 2012 à Gao (nord du Mali) ont été libérés samedi dernier. Leur libération fait suite à celle des trois otages libérés quelques jours après leur enlèvement. Par contre, le consul Boualem Saies est décédé des suites d'une maladie chronique alors que le diplomate Tahar Touati a été assassiné.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)