Algérie

La communauté internationale appelée à faire pression sur le Maroc Situation déplorable des détenus sahraouis



La communauté internationale appelée à faire pression sur le Maroc Situation déplorable des détenus sahraouis
Le ministre sahraoui chargé des Territoires occupés et des Communautés, Mohamed El Ouali Akik, a appelé samedi à Boumerdes la communauté internationale à "faire pression" sur le Maroc pour permettre aux militants des droits de l'Homme de s'enquérir de la situation "déplorable" des détenus politiques sahraouis dans les prisons marocaines.Le ministre sahraoui chargé des Territoires occupés et des Communautés, Mohamed El Ouali Akik, a appelé samedi à Boumerdes la communauté internationale à "faire pression" sur le Maroc pour permettre aux militants des droits de l'Homme de s'enquérir de la situation "déplorable" des détenus politiques sahraouis dans les prisons marocaines.
Dans une déclaration à l'APS, en marge des travaux de l'université d'été des cadres de la RASD, le ministre sahraoui a relevé que la protection accordée au Maroc par la France " l'a encouragé à interdire aux organisations humanitaires internationales et aux militants des droits de l'homme de s'enquérir de la situation des détenus politiques sahraouis dans les geôles marocaines".
La France est aussi derrière le rejet de la proposition américaine d'élargir les prérogatives de la Minurso à la protection et à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara occidental, a-t-il ajouté.
"Si les autorités marocaines respectaient réellement les droits de l'homme comme elles le prétendent dans les différents forums, pourquoi interdisent-elles les visites de militants des droits humains aux détenus sahraouis'", s'est-il interrogé.
La situation des détenus sahraouis "s'aggrave de jour en jour" et particulièrement pour ceux détenus depuis plus de 10 ans en vertu de décisions "illégales" rendues par des tribunaux militaires marocains, outre celle des 16 Sahraouis arrêtés lors des manifestations de la ville d'El Ayoun occupée, a poursuivi le responsable sahraoui.
Le ministre sahraoui a affirmé enfin, que la situation des Sahraouis dans les territoires occupés était "grave" du fait de la violation par les forces de l'occupation marocaine des droits humains des Sahraouis. Les travaux de l'université d'été des cadres du Polisario qui ont débuté le 15 août dernier à l'université M'hamed Bouguerra (Boumerdès), prendront fin demain dimanche.
Dans une déclaration à l'APS, en marge des travaux de l'université d'été des cadres de la RASD, le ministre sahraoui a relevé que la protection accordée au Maroc par la France " l'a encouragé à interdire aux organisations humanitaires internationales et aux militants des droits de l'homme de s'enquérir de la situation des détenus politiques sahraouis dans les geôles marocaines".
La France est aussi derrière le rejet de la proposition américaine d'élargir les prérogatives de la Minurso à la protection et à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara occidental, a-t-il ajouté.
"Si les autorités marocaines respectaient réellement les droits de l'homme comme elles le prétendent dans les différents forums, pourquoi interdisent-elles les visites de militants des droits humains aux détenus sahraouis'", s'est-il interrogé.
La situation des détenus sahraouis "s'aggrave de jour en jour" et particulièrement pour ceux détenus depuis plus de 10 ans en vertu de décisions "illégales" rendues par des tribunaux militaires marocains, outre celle des 16 Sahraouis arrêtés lors des manifestations de la ville d'El Ayoun occupée, a poursuivi le responsable sahraoui.
Le ministre sahraoui a affirmé enfin, que la situation des Sahraouis dans les territoires occupés était "grave" du fait de la violation par les forces de l'occupation marocaine des droits humains des Sahraouis. Les travaux de l'université d'été des cadres du Polisario qui ont débuté le 15 août dernier à l'université M'hamed Bouguerra (Boumerdès), prendront fin demain dimanche.


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