La Cnas a décidé de contrôler tous les certificats de maladie de complaisance. Il en ressort un contrôle de plus de 124.805 assurés pour toute l'année 2016 avec des sanctions à l'encontre des absents lors de contrôles à domicile. La Caisse nationale des assurances sociales a averti déjà qu'elle procèdera à des contrôles minutieux pour vérifier si les malades sont chez eux après une délivrance de certificats médicaux afférents.La Cnas a décidé de contrôler tous les certificats de maladie de complaisance. Il en ressort un contrôle de plus de 124.805 assurés pour toute l'année 2016 avec des sanctions à l'encontre des absents lors de contrôles à domicile. La Caisse nationale des assurances sociales a averti déjà qu'elle procèdera à des contrôles minutieux pour vérifier si les malades sont chez eux après une délivrance de certificats médicaux afférents.Le constat est effarant, lors des opérations de contrôles à domicile, il a été enregistré que plus de 19.000 personnes ont été absentes du domicile et 14.473 personnes ont été sanctionnées pour de "faux congés de maladies". La Cnas par le biais de sa direction des prestations a souligné que ces opérations s'inscrivent dans le cadre de la lutte contre les congés de complaisance et des arrêts de travail injustifiés. D'ailleurs, cela se répercute négativement sur les finances de la Caisse qui tente de les rééquilibrer avec la rationalisation budgétaire.Selon la même direction "il a été constaté que 14.774.568 indemnités journalières concernant les arrêts de travail ont été remboursées tout au long de l'année 2016". Mais des milliers de demandes d'arrêts de travail ont été annulées par les différentes directions au niveau national. La Cnas estime que ces derniers n'avaient nullement besoin d'un arrêt de travail et certains abusent tout le temps de ces "congés" sans présenter dûment les actes médicaux nécessaires ou des certificats attestant la période sur laquelle est mentionnée la durée du congé de maladie.D'autre part, il est à noter que chaque assuré social doit présenter au bout de 48 heures le justificatif nécessaire pour procéder au remboursement selon les lois en vigueur. Ce qui est aberrant, c'est que certains assurés ont réussi à tromper parfois la vigilance des services de sécurité sociale, mais le DG de la Cnas a toujours soutenu que pour lutter contre ce phénomène "il faut vérifier l'état des malades par les services de la Caisse". Les malades chroniques qui peuvent parfois obtenir des congés de moyenne ou longue durée sont exclus de cette opération après un contrôle médical effectué par les praticiens de la Caisse. A cet effet, il a été établi une nouvelle base de remboursement sur une nomenclature de maladies bien précises et qui servent désormais de référents pour les opérations de contrôle.Les pathologies cardiaques, neurologiques, traumatologiques, cas de chirurgie, maladies infectieuses et respiratoires et les affections urologiques sont parmi les plus prioritaires pour les indiquer comme valables pour les malades qui veulent bénéficier d'arrêts de travail plus au moins prolongés. Tous les autres cas doivent être justifiés par des secondes visites médicales afin de s'assurer de la sincérité des malades qui demanderaient des congés de maladie.Le constat est effarant, lors des opérations de contrôles à domicile, il a été enregistré que plus de 19.000 personnes ont été absentes du domicile et 14.473 personnes ont été sanctionnées pour de "faux congés de maladies". La Cnas par le biais de sa direction des prestations a souligné que ces opérations s'inscrivent dans le cadre de la lutte contre les congés de complaisance et des arrêts de travail injustifiés. D'ailleurs, cela se répercute négativement sur les finances de la Caisse qui tente de les rééquilibrer avec la rationalisation budgétaire.Selon la même direction "il a été constaté que 14.774.568 indemnités journalières concernant les arrêts de travail ont été remboursées tout au long de l'année 2016". Mais des milliers de demandes d'arrêts de travail ont été annulées par les différentes directions au niveau national. La Cnas estime que ces derniers n'avaient nullement besoin d'un arrêt de travail et certains abusent tout le temps de ces "congés" sans présenter dûment les actes médicaux nécessaires ou des certificats attestant la période sur laquelle est mentionnée la durée du congé de maladie.D'autre part, il est à noter que chaque assuré social doit présenter au bout de 48 heures le justificatif nécessaire pour procéder au remboursement selon les lois en vigueur. Ce qui est aberrant, c'est que certains assurés ont réussi à tromper parfois la vigilance des services de sécurité sociale, mais le DG de la Cnas a toujours soutenu que pour lutter contre ce phénomène "il faut vérifier l'état des malades par les services de la Caisse". Les malades chroniques qui peuvent parfois obtenir des congés de moyenne ou longue durée sont exclus de cette opération après un contrôle médical effectué par les praticiens de la Caisse. A cet effet, il a été établi une nouvelle base de remboursement sur une nomenclature de maladies bien précises et qui servent désormais de référents pour les opérations de contrôle.Les pathologies cardiaques, neurologiques, traumatologiques, cas de chirurgie, maladies infectieuses et respiratoires et les affections urologiques sont parmi les plus prioritaires pour les indiquer comme valables pour les malades qui veulent bénéficier d'arrêts de travail plus au moins prolongés. Tous les autres cas doivent être justifiés par des secondes visites médicales afin de s'assurer de la sincérité des malades qui demanderaient des congés de maladie.
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Posté Le : 28/02/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : FAYÇAL ABDELGHANI
Source : www.lemidi-dz.com