Algérie

La campagne électorale proche de sa vitesse de croisière


MSP: soucieux de la composition du nouveau gouvernementLe président du Mouvement de la société pour la paix, Abderrazak Makri, est longuement revenu, à partir de Biskra, sur les voies et les solutions à apporter pour le développement du pays, estimant que «la solution aux problèmes de développement en Algérie reste tributaire de la formation d'un gouvernement d'union nationale après les élections législatives».
Revenant sur l'importance de la composition du nouveau gouvernement, Makri considère qu'il est impératif d' «d'envoyer au peuple un message se traduisant par la formation d'un gouvernement d'union nationale après les élections législatives à travers un dialogue capable de concrétiser le développement».
PRA: il faut faire confiance aux jeunes
Le président du Parti du renouveau algérien, Kamel Bensalem, a appelé, samedi à Oran, à «faire confiance aux jeunes afin qu'ils assument des responsabilités et opèrent le changement et l'édification d'une économie forte. Il est nécessaire de revoir l'insertion des jeunes en leur donnant l'occasion d'assumer des responsabilités pour opérer le changement et l'édification d'une économie forte à même de produire une valeur ajoutée».
Il a assuré que «sa formation politique a adopté comme slogan «le changement ne peut être opéré sans la conscientisation et la contribution de tous» afin de participer activement à
la mise en place d'institutions fortes et de préserver la sécurité et la stabilité du pays».
El Moustakbal: Belaïd appelle à une forte mobilisation
Le président du Front El Moustakbel, Abdelaziz Belaid, a affirmé, samedi à partir d'El Tarf, que «l'Algérie a besoin de tous ses enfants pour édifier une Assemblée populaire nationale à la mesure des attentes du peuple et élire des représentants capables de proposer des solutions appropriées aux défis socio-économiques actuels».
Appelant à une mobilisation consequente pour la réussite de ce rendez-vous électorale, Belaïd estime que «la prochaine échéance électorale impose la participation de tous les hommes et femmes du pays pour choisir, par le biais des urnes, des représentants du peuple aptes à le servir et à apporter des solutions aux problèmes posés dans tous les domaines».
El Islah: «Nous ne permettrons pas que le pays revienne en arrière»
À Sidi Bel Abbès, le président du mouvement El Islah, Filali Ghouini, revient sur la période difficile traversée et estime que «l'Algérie a réussi à revenir de loin, grâce aux sacrifices et les efforts de ses fidèles enfants. L'Algérie a beaucoup souffert de tragédies. Aujourd'hui, elle est revenue de loin, grâce aux sacrifices et à la fidélité de ses citoyens à tous les niveaux et à travers toutes les régions du pays».
«Nous ne permettrons pas que le pays revienne en arrière ou tombe, une fois encore, dans le vide constitutionnel ou institutionnel qui nous fera revenir aux tragédies des années de braise», a-t-il ajouté.
Le FJD réclame la lutte contre l'injustice
Intervenant à partir de Skikda, le président du Front de la justice et du développement, Abdellah Djaballah, a considéré que «la réforme de tout système de gouvernance repose sur deux fondements: le système juridique qui se reflète à travers la Constitution, et celui des institutions de l'Etat et de la société. Le Front de la justice et du développement réclame une Constitution à même de combattre l'injustice et l'abus, de consacrer les valeurs nobles et qui rejettent les imitations aveugles, une Constitution qui soit fidèle au référent religieux, civilisationnel et historique de la Nation afin d'en concrétiser les aspirations».
TAJ:Zerouati met en avant le rôle de l'élu
La présidente du parti «Tajamoue Amel el-Djazaïr» (TAJ), Fatma Zohra Zerouati,, s'est exprimée à partir de Médéa, soulignant l'importance de «réhabiliter l'acte politique et amorcer une rupture totale avec les pratiques qui ont enfoncé le pays dans la crise. La crise que vit actuellement le pays est politique et la solution à celle-ci ne peut être que d'ordre politique». Insistant sur l'importance et la portée des élections législatives, Zerouati est revenue sur le rôle que doit jouer l'élu, expliquant que «le scrutin du 12 juin constitue le passage vers de nouvelles pratiques et us politiques où l'élu doit être au service exclusif de la population, son porte-voix et le défenseur de ses droits. Ils doivent être en mesure de proposer des alternatives et des solutions aux problèmes que vit la société.
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