Le vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères belge Didier Reynder a affirmé lundi que son pays ne paiera "jamais" de rançon pour libérer ses ressortissants pris en otage en Syrie."Si on commence à payer des rançons, on donne une valeur marchande à tous nos compatriotes et on les expose immédiatement à ce risque-là", a souligné à la presse M. Reynder, en réaction à des informations publiées faisant état de l'enlèvement en Syrie d'un infirmier belge de Médecins sans frontières (MSF) et de deux jeunes femmes.Cependant, M. Reynder a insisté sur la voie politique pour le règlement de ce genre de cas. "Heureusement, jusqu'à présent, on a pu faire passer le message et surtout on a pu trouver d'autres formes de négociation, politique notamment", a-t-il dit.Il a toutefois relevé que cette voie "n'interdit pas que d'autres, des familles ou des organisations, prennent des initiatives". Toujours en lien avec la crise syrienne, le vice-premier ministre a indiqué que la Belgique poursuivra son action en faveur d'une solution politique et son appui aux réfugiés syriens.
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Posté Le : 13/01/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Temps d'Algérie
Source : www.letempsdz.com