Algérie

La bataille des chefs n'aura pas lieu Elections législatives du 10 mai à Alger



La bataille des chefs n'aura pas lieu                                    Elections législatives du 10 mai à Alger
Finalement, la majorité des chefs des partis politiques a décidé de ne pas se présenter aux élections législatives du 10 mai prochain. Attendue pour avoir lieu à Alger où les premiers responsables des partis politiques devaient en principe conduire les listes de leurs partis, cette bataille électorale tant attendue n'aura pas lieu finalement. En effet, la plupart des chefs de partis politiques, notamment ceux qu'on qualifie de grosses cylindrées de l'échiquier politique nationale, ont préféré ne pas présenter leurs candidatures au scrutin législatif du 10 mai. Il en a été ainsi des trois partis qui formaient, il n'y a pas si longtemps encore, l'Alliance présidentielle. Ni Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN, ni Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, ni Bouguerra Soltani, président du MSP, ne vont défendre les couleurs de leurs chapelles en tant que candidats. Sollicités pourtant pour porter l'étendard de leurs partis à Alger, la capitale, ils ont décliné ces propositions. Les listes électorales de leurs partis seront donc dirigés par d'autres cadres. Et si pour le RND et le MSP, les noms de ces candidats qui vont être désignés tête de listes sont connus, il en est autrement du FLN. En effet, selon des sources concordantes, le choix du RND s'est porté sur Sedik Chiheb, député et membre du bureau national et patron incontesté du parti à Alger. Pour le MSP, qui a rejoint les partis Enahda et El Islah pour former « la coalition de l'Algérie verte » qui présentera des listes communes à ces élections, c'est le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, qui semble avoir les faveurs pour diriger la liste de ce
triumvirat de parti.
Reste le FLN où la question ne semble pas avoir encore été tranchée puisque le secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, a déjà annoncé qu'il ne sera pas candidat. Les noms de Abdelaziz Ziari, président de l'APN, et Rachid Harraouibia, ministre de l'Enseignement supérieur, sont les plus cités par les médias s'agissant de la tête de liste du vieux parti à Alger.
Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani ne feront pas l'exception puisque d'autres leaders en ont fait de même. Moussa Touati du FNA, Hamlaoui Akouchi d'El Islah, Fawzi Rebaine de Ahd 54, Mohamed Saïd du PJL et certainement aussi Abdallah Djaballah du FJD, ne seront pas, eux aussi, candidats à ces législatives. Selon des sources responsables au Front pour la justice et le développement « il est fort peu probable que Abdallah Djaballah défende les couleurs de son parti à Alger ou ailleurs et ce même si les militants sont en train d'exercer des pressions sur lui afin qu'il dirige la liste dans la capitale ». Il en est de même au FFS où le nom de Ali Laskri, le premier secrétaire, n'a jamais été avancé par les observateurs et les médias. C'est plutôt le nom du président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme, Mustapha Bouchachi, qui est le plus cité. De tous les partis qui ont un certain poids sur la scène nationale, seul le Parti des travailleurs (PT) va présenter sa secrétaire générale comme candidate à Alger.
Louisa Hanoune va ainsi diriger la liste du PT dans la capitale, et ce pour la quatrième fois successive puisqu'elle a déjà défendue avec succès les couleurs de son parti lors des législatives de 1997, de 2002 et 2007. Notons aussi l'absence de Saïd Sadi, ex-président du RCD, dont le parti va boycotter ces élections alors que le premier responsable d'Enahda, Fateh Rebai, sera candidat à Médéa.
Finalement, la majorité des chefs des partis politiques a décidé de ne pas se présenter aux élections législatives du 10 mai prochain. Attendue pour avoir lieu à Alger où les premiers responsables des partis politiques devaient en principe conduire les listes de leurs partis, cette bataille électorale tant attendue n'aura pas lieu finalement. En effet, la plupart des chefs de partis politiques, notamment ceux qu'on qualifie de grosses cylindrées de l'échiquier politique nationale, ont préféré ne pas présenter leurs candidatures au scrutin législatif du 10 mai. Il en a été ainsi des trois partis qui formaient, il n'y a pas si longtemps encore, l'Alliance présidentielle. Ni Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN, ni Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, ni Bouguerra Soltani, président du MSP, ne vont défendre les couleurs de leurs chapelles en tant que candidats. Sollicités pourtant pour porter l'étendard de leurs partis à Alger, la capitale, ils ont décliné ces propositions. Les listes électorales de leurs partis seront donc dirigés par d'autres cadres. Et si pour le RND et le MSP, les noms de ces candidats qui vont être désignés tête de listes sont connus, il en est autrement du FLN. En effet, selon des sources concordantes, le choix du RND s'est porté sur Sedik Chiheb, député et membre du bureau national et patron incontesté du parti à Alger. Pour le MSP, qui a rejoint les partis Enahda et El Islah pour former « la coalition de l'Algérie verte » qui présentera des listes communes à ces élections, c'est le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, qui semble avoir les faveurs pour diriger la liste de ce
triumvirat de parti.
Reste le FLN où la question ne semble pas avoir encore été tranchée puisque le secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, a déjà annoncé qu'il ne sera pas candidat. Les noms de Abdelaziz Ziari, président de l'APN, et Rachid Harraouibia, ministre de l'Enseignement supérieur, sont les plus cités par les médias s'agissant de la tête de liste du vieux parti à Alger.
Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani ne feront pas l'exception puisque d'autres leaders en ont fait de même. Moussa Touati du FNA, Hamlaoui Akouchi d'El Islah, Fawzi Rebaine de Ahd 54, Mohamed Saïd du PJL et certainement aussi Abdallah Djaballah du FJD, ne seront pas, eux aussi, candidats à ces législatives. Selon des sources responsables au Front pour la justice et le développement « il est fort peu probable que Abdallah Djaballah défende les couleurs de son parti à Alger ou ailleurs et ce même si les militants sont en train d'exercer des pressions sur lui afin qu'il dirige la liste dans la capitale ». Il en est de même au FFS où le nom de Ali Laskri, le premier secrétaire, n'a jamais été avancé par les observateurs et les médias. C'est plutôt le nom du président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme, Mustapha Bouchachi, qui est le plus cité. De tous les partis qui ont un certain poids sur la scène nationale, seul le Parti des travailleurs (PT) va présenter sa secrétaire générale comme candidate à Alger.
Louisa Hanoune va ainsi diriger la liste du PT dans la capitale, et ce pour la quatrième fois successive puisqu'elle a déjà défendue avec succès les couleurs de son parti lors des législatives de 1997, de 2002 et 2007. Notons aussi l'absence de Saïd Sadi, ex-président du RCD, dont le parti va boycotter ces élections alors que le premier responsable d'Enahda, Fateh Rebai, sera candidat à Médéa.


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