Algérie

La Banque d'Algérie dévoile la quantité d'argent créée



La Banque d'Algérie a créé 2.185 milliards de dinars demonnaie au 30 novembre 2017dans le cadre du financement non conventionnel, communément connu sous le nom deprocessus de "la planche à billets", révèle l'annonce de la situation mensuelle de laBanque d'Algérie publiée dansle dernier Journal officiel.La Banque d'Algérie a créé 2.185 milliards de dinars demonnaie au 30 novembre 2017dans le cadre du financement non conventionnel, communément connu sous le nom deprocessus de "la planche à billets", révèle l'annonce de la situation mensuelle de laBanque d'Algérie publiée dansle dernier Journal officiel.
Les 2.185 milliards de dinars,représentant plus de 19 milliardsde dollars américains,ont été créés sous forme detitres émis ou garantis parl'Etat algérien conformément à l'article 45 bis de l'ordonnance numéro 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit complétée par la loi numéro17-10 du 11 octobre 2017. Cet article stipule que "la Banque d'Algérie procède à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à l'achat directement auprès du Trésor, de titres émis par celuici à l'effet de participer à la couverture des besoins de financement du Trésor, au financement de la dette publique interne, ainsi qu'au financement du Fonds national d'investissement".
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, chiffrait le 22 octobre dernier les besoins du Trésor public enmatière de financement à 570 milliards de dinars en 2017, à 1.815 milliards en 2018 et à 580 milliards en 2019. Le vice-gouverneur de la Banque d'Algérie, Saïd Maherzi, affirmait pour sa part le 26 septembre que le financement non conventionnel ne pas se répercuter par une explosion de l'inflation. "Ce qui serait inquiétant n'est pas le principe de recourir à ce financement mais le fait d'y recourir de manière abusive etdémesurée", avait-il affirmé.
Les 2.185 milliards de dinars,représentant plus de 19 milliardsde dollars américains,ont été créés sous forme detitres émis ou garantis parl'Etat algérien conformément à l'article 45 bis de l'ordonnance numéro 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit complétée par la loi numéro17-10 du 11 octobre 2017. Cet article stipule que "la Banque d'Algérie procède à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à l'achat directement auprès du Trésor, de titres émis par celuici à l'effet de participer à la couverture des besoins de financement du Trésor, au financement de la dette publique interne, ainsi qu'au financement du Fonds national d'investissement".
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, chiffrait le 22 octobre dernier les besoins du Trésor public enmatière de financement à 570 milliards de dinars en 2017, à 1.815 milliards en 2018 et à 580 milliards en 2019. Le vice-gouverneur de la Banque d'Algérie, Saïd Maherzi, affirmait pour sa part le 26 septembre que le financement non conventionnel ne pas se répercuter par une explosion de l'inflation. "Ce qui serait inquiétant n'est pas le principe de recourir à ce financement mais le fait d'y recourir de manière abusive etdémesurée", avait-il affirmé.


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