«Notre situation macroéconomique est nettement meilleure que celle qui prévalait lors du choc pétrolier de 1986, et notre pays est doté aujourd'hui d'infrastructures modernes et de capacités humaines clairement supérieures ».«Notre situation macroéconomique est nettement meilleure que celle qui prévalait lors du choc pétrolier de 1986, et notre pays est doté aujourd'hui d'infrastructures modernes et de capacités humaines clairement supérieures ».«Dès le mois de juillet 2014, le gouvernement validait le modèle de croissance de l'économie nationale ainsi que le cadrage budgétaire du programme quinquennal 2015/2019, qui prenaient en compte la dégradation possible des cours des hydrocarbures ». «Les actions de maîtrise du commerce extérieur ont permis d'enregistrer des baisses significatives des volumes et des coûts des importations.Nous avons réduit les dépenses de fonctionnement et d'équipement sans toucher les acquis sociaux et sans freiner la commande publique, levier important de la croissance dans notre pays. Nous refusons d'être prisonniers du statu quo et de la fatalité du recul des recettes budgétaires extérieurs. Il nous faut envisager l'avenir avec optimisme et détermination».«Les dispositions LFC 2015 et LF 2016, vont dans cette direction d'optimisation des recettes du budget de l'Etat, de soutien aux entreprises, de facilitation de l'investissement ainsi que l'encouragement du secteur national productif. la promotion de l'investissement est une priorité et c'est ensemble que nous devons trouver les solutions aux contraintes et aux entraves qui empêchent son développement et le rendent moins attractif que l'activité de commerce ». « L'agriculture, l'industrie, le tourisme, la pétrochimie, les NTIC ainsi que les énergies renouvelables, son les domaines prioritaires de développement identifiées par l'exécutif ».«Dès le mois de juillet 2014, le gouvernement validait le modèle de croissance de l'économie nationale ainsi que le cadrage budgétaire du programme quinquennal 2015/2019, qui prenaient en compte la dégradation possible des cours des hydrocarbures ». «Les actions de maîtrise du commerce extérieur ont permis d'enregistrer des baisses significatives des volumes et des coûts des importations.Nous avons réduit les dépenses de fonctionnement et d'équipement sans toucher les acquis sociaux et sans freiner la commande publique, levier important de la croissance dans notre pays. Nous refusons d'être prisonniers du statu quo et de la fatalité du recul des recettes budgétaires extérieurs. Il nous faut envisager l'avenir avec optimisme et détermination».«Les dispositions LFC 2015 et LF 2016, vont dans cette direction d'optimisation des recettes du budget de l'Etat, de soutien aux entreprises, de facilitation de l'investissement ainsi que l'encouragement du secteur national productif. la promotion de l'investissement est une priorité et c'est ensemble que nous devons trouver les solutions aux contraintes et aux entraves qui empêchent son développement et le rendent moins attractif que l'activité de commerce ». « L'agriculture, l'industrie, le tourisme, la pétrochimie, les NTIC ainsi que les énergies renouvelables, son les domaines prioritaires de développement identifiées par l'exécutif ».
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Posté Le : 21/09/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com