Algérie

L'UGTA au secours des smicards Sous la Plume


Sidi-Saïd, quand bien même se situant dans une action de solidarité, c'est surtout l'encouragement de la production nationale qui est son cheval de bataille, de même que la préservation du pouvoir d'achat des travailleurs...Sidi-Saïd, quand bien même se situant dans une action de solidarité, c'est surtout l'encouragement de la production nationale qui est son cheval de bataille, de même que la préservation du pouvoir d'achat des travailleurs...
L'UGTA et le ministère du Commerce se mettent au diapason pour envoyer une bouffée d'oxygène à ceux qui ne gagnent pas lourd et qui se triturent l'esprit chaque jour du mois de ramadhan pour faire bouillir la «qadra» à moindre coût. Et ce n'est certainement pas les bouchers qui feront du sentiment à l'endroit de ceux qui regardent juste avec les yeux les morceaux de viande qui font envie mais qu'au demeurant ils ne peuvent pas se permettre.
Alors à l'instar des restaurants de la Rahma et pour la deuxième année consécutive, l'UGTA et le ministère du Commerce ont lancé une opération conjointe pour la vente de produits alimentaires de production nationale des viandes blanches et rouges ainsi que des effets vestimentaires en prévision de la fête de l'Aïd. Par cette action, le ministre du Commerce entend casser les prix. Les différences de prix oscillent entre 250 DA à 350 DA par kilo pour la viande bovine.
C'est mieux, c'est sûr, mais pas de quoi «casser la baraque» quand il faut prendre en compte les files interminables sous les chapiteaux plombés par un soleil bien chaud à l'heure du zénith. Cependant, les familles qui tirent le diable par la queue n'auront d'autre choix que de se pointer aux aurores et jouer du coude pour ramener un couffin qui n'amputera pas trop leur porte-monnaie et c'est en fait le but recherché de Mustapha Benbada.
Le patron de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi-Said, se place, lui, dans une autre logique quand bien même il se situe dans une action de solidarité, c'est surtout l'encouragement de la production nationale qui est son cheval de bataille et pour la préservation du pouvoir d'achat des travailleurs, tout en ne négligeant pas l'opération de charme qu'il capitalise à son actif pour remonter dans les sondages de cote de popularité, lui, si souvent décrié par des milliers de travailleurs qui critiquent son action syndicale.
Cette opération de vente de biens de consommation qui se déroule au siège de l'UGTA reste une action salutaire et une aubaine pour les smicards.
L'UGTA et le ministère du Commerce se mettent au diapason pour envoyer une bouffée d'oxygène à ceux qui ne gagnent pas lourd et qui se triturent l'esprit chaque jour du mois de ramadhan pour faire bouillir la «qadra» à moindre coût. Et ce n'est certainement pas les bouchers qui feront du sentiment à l'endroit de ceux qui regardent juste avec les yeux les morceaux de viande qui font envie mais qu'au demeurant ils ne peuvent pas se permettre.
Alors à l'instar des restaurants de la Rahma et pour la deuxième année consécutive, l'UGTA et le ministère du Commerce ont lancé une opération conjointe pour la vente de produits alimentaires de production nationale des viandes blanches et rouges ainsi que des effets vestimentaires en prévision de la fête de l'Aïd. Par cette action, le ministre du Commerce entend casser les prix. Les différences de prix oscillent entre 250 DA à 350 DA par kilo pour la viande bovine.
C'est mieux, c'est sûr, mais pas de quoi «casser la baraque» quand il faut prendre en compte les files interminables sous les chapiteaux plombés par un soleil bien chaud à l'heure du zénith. Cependant, les familles qui tirent le diable par la queue n'auront d'autre choix que de se pointer aux aurores et jouer du coude pour ramener un couffin qui n'amputera pas trop leur porte-monnaie et c'est en fait le but recherché de Mustapha Benbada.
Le patron de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi-Said, se place, lui, dans une autre logique quand bien même il se situe dans une action de solidarité, c'est surtout l'encouragement de la production nationale qui est son cheval de bataille et pour la préservation du pouvoir d'achat des travailleurs, tout en ne négligeant pas l'opération de charme qu'il capitalise à son actif pour remonter dans les sondages de cote de popularité, lui, si souvent décrié par des milliers de travailleurs qui critiquent son action syndicale.
Cette opération de vente de biens de consommation qui se déroule au siège de l'UGTA reste une action salutaire et une aubaine pour les smicards.
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