L'option Cherif Hadjar se précise

La direction des Sanafir semble avoir jeté son dévolu sur la personne de Chérif Hadjar pour driver le club la saison prochaine. En effet, d'après nos sources, la direction du club avait en premier lieu privilégié la piste d'un entraîneur étranger, mais après avoir étudié plusieurs CV proposés, elle a finalement, pour des raisons purement financières, opté pour le choix du technicien local, surtout que Hadjar possède selon nos sources toutes les qualités "souhaitées" par la direction, à savoir un technicien avéré et surtout un meneur d'hommes. L'entraîneur a discuté tous les termes de son contrat.Il devrait s'engager avec le CSC juste à la fin de son contrat avec la JSMS. Il a du reste convenu de ramener dans ses bagages son adjoint de toujours Aouameri, et sera aidé dans sa tâche par le préparateur physique Gerioune, dont c'est le retour au club puisqu'il a déjà travaillé sous la houlette de Denis Lavagne et Amrani. Cependant, le nouveau coach a "officieusement" entamé son travail, puisqu'il est étroitement associé à l'opération de recrutement.
À ce propos, il a déjà donné son aval pour la première recrue estivale, à savoir le milieu de terrain de l'ASAM, Debbih, qui a signé son engagement, ainsi que le jeune attaquant des U21 du voisin, le MOC, Grioua, en attendant de finaliser avec le milieu de terrain du CRB, Aïboud, et l'attaquant du MCO, Mellal. De même qu'il a été décidé la promotion de cinq éléments des U21, à savoir l'international Chekal, Bendaoud, Beldjedri, Mehazem et Barkat.
Pour ce qui est des libérés, le CSC a officiellement enregistré le départ de Yettou, Bentahar, Bedbouda, Djanit, Redjimi et du Soudanais Chiboub en attendant de trouver une solution avec le défenseur Zaalani qui a demandé à changer d'air mais toujours lié par une année de contrat et dont la lettre de libération a été fixée à 1,5 milliard de centimes, ainsi que le capitaine Laamri qui se trouve en fin de contrat et à qui la direction avait proposé une réduction de salaire pour un éventuel réengagement.

ADLÈNE R.