Quand Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'UGTA, a pris laparole, la grande salle du complexe d'El-Hadjar était pleine à craquer.Abdelmadjid Sidi Saïd a opté pour un réquisitoire contre les «déstabilisateursinconscients du monde du travail», soulignant sa «disponibilité à lutter contretoute forme de déstabilisation du pays à travers les entreprises dont autreautres, le complexe d'El-Hadjar». «Chers travailleurs, l'accord qui a été signéaujourd'hui démontre, sans équivoque, la volonté des parties à préserver lesdroits des travailleurs et l'outil de production. L'UGTA doit favoriser ledialogue quelles qu'en soient les circonstances. Il n'est pas, certes, facilede mener des négociations à ce niveau, mais il est quasiment certaind'atteindre avec cela, les objectifs recherchés. Dorénavant il nous serapossible et cela va être réalisable, d'atteindre un effectif de 10.000 à 12.000personnes au lieu des 8.000 actuels», a dit Sidi Saïd qui ajoute «avec ledialogue, nous avons, avec le président de la République, réalisé desprouesses». Et de souligner: «nous avonsélevé à trois reprises le SNMG qui était, en 1998, à 6.000 DA, à travers troisaccords et il est passé à 8.000, 10.000 et ensuite à 12.000 DA». Sidi Saïd estrevenu sur la révision du statut général des travailleurs de la fonctionpublique, en plus des augmentations des salaires.
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Posté Le : 21/08/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Hocine Kedadria
Source : www.lequotidien-oran.com