L'Onu "raisonnablement optimiste"

Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, s'est déclaré "raisonnablement optimiste" concernant le succès de la conférence des Nations unies sur le climat (COP21), prévue à Paris en décembre, a rapporté un média italien. "Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, s'est déclaré "raisonnablement optimiste" concernant le succès de la conférence des Nations unies sur le climat (COP21), prévue à Paris en décembre, a rapporté un média italien. "Je suis encore raisonnablement optimiste sur le fait que les leaders mondiaux réussiront à adopter un protocole universel sur les changements climatiques d'ici à la fin de l'année", a-t-il dit dans une interview au quotidien Corriere della Sera. "Il y a des lenteurs dans le processus de négociation qui m'inquiète, c'est vrai, et le temps à notre disposition est limité", a-t-il ajouté. "Je reste cependant optimiste car il y a désormais un large consensus dans le monde sur la nécessité d'intervenir sur le climat", a estimé M. Ban qui est arrivé pour une visite de deux jours en Italie."La donnée de fond, celle qui me semble essentielle et me rend optimiste est que quasiment tout le monde a accepté le fait que le prix de l'inaction est plus élevé du coût d'une intervention décidée maintenant", a-t-il conclu. Le futur accord de Paris, qui prendra le relais du protocole de Kyoto, se veut le tout premier accord universel destiné à limiter le réchauffement planétaire lié aux émissions de gaz à effet de serre.Je suis encore raisonnablement optimiste sur le fait que les leaders mondiaux réussiront à adopter un protocole universel sur les changements climatiques d'ici à la fin de l'année", a-t-il dit dans une interview au quotidien Corriere della Sera. "Il y a des lenteurs dans le processus de négociation qui m'inquiète, c'est vrai, et le temps à notre disposition est limité", a-t-il ajouté. "Je reste cependant optimiste car il y a désormais un large consensus dans le monde sur la nécessité d'intervenir sur le climat", a estimé M. Ban qui est arrivé pour une visite de deux jours en Italie."La donnée de fond, celle qui me semble essentielle et me rend optimiste est que quasiment tout le monde a accepté le fait que le prix de l'inaction est plus élevé du coût d'une intervention décidée maintenant", a-t-il conclu. Le futur accord de Paris, qui prendra le relais du protocole de Kyoto, se veut le tout premier accord universel destiné à limiter le réchauffement planétaire lié aux émissions de gaz à effet de serre.