AZUL Felawen,
poème dédier a tous ses pays en guerre, dans les peuples souffre alors que d’autres on tire profit
Dans ma tristesse, face à l’horreur, j’ai crié de toutes mes forces,
En pensant que les élites de l’Humanité entendraient les souffrances de leur arrogance,
Et l’écho m’a répondu: toute en riant : « silence, silence, c’est de la que vient ma finance ».
A quoi servent les mots face au massacre, à faire monter les bourses.
Réflexion, L’Amour meurt, la bourse monte.
Humain je me suis nommé, la morale je l’exclu de ma pensée,
Mokrane ait Lounes
L’Amour meurt, la conscience dégringole, la bourse monte plus haut, elle s’envole,
La Haine fait la fête, chante, elle célèbre le mensonge comme le plus grand de ses idoles,
L’argent vit à sa guise fait mine d’aller au temple, de prier à la mosquée ou encore à l’église.
Les pauvres humains rament dans cette société agitée avec pour seul rêve d’avoir de la devise
Mesdames, Messieurs, cette réflexion ne cherche pas à accuser la conscience de la morale
Juste les larmes d’une mère, espérant que cette valeur qui meurt, renaitra dans les cœurs.
En hommage aux enfants syriens
Mokrane Ait Lounes
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Posté Le : 26/02/2018
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : mokrane ait lounes
Source : l’œuvre de l’Homme, es la charité de la souffrance,