Sur les 333 dossiers d'investissement retenus, 83 projets sont opérationnels, 123 en cours de réalisation et 127 ne sont pas encore lancés.
L'investissement privé dans la wilaya de Bouira peine à décoller. Seize ans après la création du comité d'assistance et de localisation des projets d'investissement et de la régulation foncière (Calpiref, ex-Calpi), dont la mission principale est d'accompagner les investisseurs dans leurs différentes démarches, l'activité économique de la région, elle, n'est toujours pas relancée. La situation devient de plus en plus préoccupante compte tenu du sous-développement local, et, surtout du chômage endémique qui touche la jeunesse à travers les différentes localités de la wilaya. Pourtant, ce ne sont pas les potentialités qui manquent à Bouira. Or, c'est le manque de vision et l'absence d'une politique « saine » du développement local qui ont fait que les promoteurs, du moins ceux qui ont émis le souhait de s'installer à Bouira, s'égarent dans le labyrinthe de l'administration, bref, de la bureaucratie.Les exemples sont légion. Combien de projets lesquels, à défaut d'un document que les services concernés devraient faire en peu de temps, sont bloqués des années durant ou, tout simplement, le promoteur est allé voir ailleurs. Cela ne fait, en revanche, que contredire ce que l'on ne cesse de pérorer sur les bons résultats de la politique d'investissement adoptée au niveau local. L'on parle aussi d'une dynamique que l'arrivée des promoteurs privés dans la région avait créée. Toutefois, pour se rendre compte de la réalité du terrain, il faut voir le nombre de jeunes en quête d'emploi et aussi la portée et le nombre et même l'ampleur des projets qui ont été accordés par le Calpiref de Bouira depuis sa création en 1994.Pour ce qui est du flou entourant le dossier de l'investissement privé à Bouira, les statistiques présentées par les services concernés, sont éloquentes à ce sujet. Sur les 1507 dossiers d'investissement qui ont été déposés au niveau du Calpiref, et ce depuis 1994, seulement 841 dossiers ont été agréés. Le reste des dossiers a été rayé de la liste. Par ailleurs, la décantation quant aux projets peu convaincants a toujours été de mise. Des 841 projets sélectionnés au départ, il n'en reste à présent que 333 dossiers. 508 dossiers ont fait l'objet d'une annulation pure et simple puisque, faut-il le dire, le comité chargé de ressusciter l'activité économique de la région a jugé que les prétendants promoteurs ont d'autres visées que celle d'un vrai investissement.Des 333 dossiers accordés, 83 projets sont opérationnels, 123 en cours de réalisation et 127 dossiers ne sont pas encore lancés, selon les derniers chiffres communiqués par le Calpiref. Concernant le coût des investissements validés dans la wilaya de Bouira, la facture est estimée à plus de 600 milliards de centimes. En outre, il est à noter qu'une fois tous les 333 projets, retenus par le Calpiref, seront opérationnels, cela générera pas moins de 8000 emplois. Ainsi, le groupe Cevital va contribuer, en matière de création d'emplois, de plus de 4000 emplois (directs et indirects), et ce, pour les deux projets, notamment la plate-forme de stockage de produits agroalimentaires et l'hypermarché. Au final, si au départ, les autorités locales avaient pris le soin de faciliter les choses aux investisseurs, la wilaya aurait bénéficié davantage.
A Monsieur le président
monsieur le président je vous fais cette lettre que vous lirez peut être c'est le prolongement de la lettre que mon père que dieu aie son âme, décédé le 28/08/2012 a adressé à votre ministère au nom de tout les autres membres de la famille MERZOUKI datée le 28/12/1979 dont vous trouverez ici jointe une copie parce que je compte garder l'originale pour l'histoire. notre ferme vaste de 220 hectare défraichie par nos aïeules il ya plus d'un siècle originaires de l'Arbaa des Ouacif wilaya de Tizi Ouzou qui traversaient la montagne en caravane pour travailler cette terre loin de 90km cette ferme qu'ont a jamais délaissé cette ferme dont l'acte de propriété remonte au année dix du siècle dernier. nous héritiers direct de cette propriété nous avons persévéré jusqu'à nos jours dans la préservation ,l'exploitation et la fructification de cette généreuse terre .
au 18/04/1983 un arrêté d'expropriation est tombé comme un météorite sur cette terre, un arrêté portant l'expropriation pour l'utilité publique qui n'a jamais eu lieu en infraction de la loi de l'expropriation 76/48 , au début c'était pour l'implantation d'un complexe pneumatique de SONATRACH qui n'a jamais vu le jour.
par la suite les autorité ont octroyé la zone pour le CNERU qui a affecté des parcelles pour des société nationale qui ont fait faillite quelque année après dont
un center de maintenance de la dite SNTV transformé en caserne militaire .
un centre de dépôt de la dite SNMC partie en faillite quelque années après cédé aux chinois.
un hangar de dépôt géant de la SAPTA cédé dernièrement aux émiraties.
une autre assiette est octroyée a la SNGI la seule entreprise en activité de cette zone.
et d'autre parcelles cédées à des privés pour des exploitations privés négligeables vu le nombre très réduit de leur personnel. et bien d'autres massacres au nom d'une utilité publique qui ne s'est jamais réalisée. après tant de massacre déjà une dilapidation des biens publiques d'une enveloppe je ne sais de combien de milliards.
en 2011 l'ex wali a récupéré une assiette de plus 81 hectare à titre gracieux légué par l'URBA ex CNERU aux domaine de la wilaya cette assiette qui représente un surplus de terrain a été victime d'un parcellement dans le but de les attribuer aux investisseurs privés en infraction de la loi ordonnance n° 04/08 DU 01 /09/2008 portant condition de concession des propriétés de l'état pour les projets d'investissement qui exclu les terres agricoles comme indiqué par l'article n° 02.
au 15/07/2013 une horde de pseudo investisseur est venu avec une armée de bulldozers sous le cortège des autorités et la protection des forces de l'ordre forte d'un convois de forces anti émeutes pour écraser toute opposition et légitimité de défonce des quelques propriétaires légitimes de ces terre. En voyant tout ce débarquement en carroierai à une opération de libération de l'Algérie.
plutôt à une opération de plantation d'une colonie juive en Palestine. je n'en dirai pas plus, je crois que vous avez tous une image claire et nette de ce drame .
Je vous ferai suite du développement de ce drame qui date de 1976 et qui continue toujours.........
représentant des héritiers et ayants droits
Mr Merzouki Mourad
MERZOUKI MOURAD - designer - bouira, Algérie
23/09/2013 - 131438
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Posté Le : 28/06/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Ali Cherarak
Source : www.elwatan.com