Quelle issue face à la recrudescence descontaminations aucoronavirus ' Une questionqui revient, tous les jours,dans la bouche des citoyens,toutes catégories confondues.Et pour cause, selon eux, la situation sanitaire s'aggravede jour en jour, et les solutionsproposées pour lutter"efficacement" contre l'épidémie, ne semblent pasporter leurs fruits.Quelle issue face à la recrudescence descontaminations aucoronavirus ' Une questionqui revient, tous les jours,dans la bouche des citoyens,toutes catégories confondues.Et pour cause, selon eux, la situation sanitaire s'aggravede jour en jour, et les solutionsproposées pour lutter"efficacement" contre l'épidémie, ne semblent pasporter leurs fruits.
I ls sont inquiets notamment des risques de propagation et du manque demoyens. Ce casse-tête se décline enautant d'appréhensions exprimées ces dernierstemps, surtout par la famille del'éducation. En effet, cette dernière n'estvraiment pas sur la même longueurd'ondes avec la tutelle, quant aux conditionsdans lesquelles s'effectue le cours de la scolarité, dans un contexte de rebond descas de contamination à la Covid-19. La tension monte donc d'un cran dans ce secteur.L'Intersyndicale envisage même d'initier des actions de protestation, si lestatu quo persiste. Les syndicalistesdénoncent notamment les conditions detravail. Ils demandent un fonds pourl'approvisionnement des établissementsscolaires en matériels de protection, ainsi
qu'un emploi du temps adapté.
Ce quiinflue négativement selon eux, sur la priseen charge des élèves et même du personnel.L'idée d'une grève illimitée reste une option à ne pas écarter en cas de sourdeoreille.Ainsi, la tutelle devrait intervenir pour apporter une solution et mettre fin àce bras de fer qui n'en finit pas. A rappelerque l'UNPEF a déjà ouvert le bal de la protestationen observant, il y a quelquesjours, un débrayage qui a concerné plusieurscollèges et écoles primaires. Lesenseignants affiliés à ce syndicat ont égalementtenu un sit-in à Alger pour réclamer l'application du protocole sanitaire.Le manque de moyens de protection sur les lieux de travail serait la principale raison de la grogne des travailleurs de l'éducation.Rappelons aussi, qu'avant cela, les syndicatsautonomes de l'éducation avaientappelé à l'organisation d'une action de protestationcommune pour dénoncer la "gestiondes autorités de la rentrée scolaire".
L'UNPEF a manifestement fait cavalierseul, et a décrété une journée de grève. En dehors de l'impact de celle-ci, cette démarche est peut-être annonciatrice d'unevague de protestations en milieu scolaire. La situation que vit le secteur pourrait se détériorer davantage, selon les acteurs del'éducation. Cette crainte se révèle justifiéelorsqu'on voit la multiplication des menaces de grève. L'intersyndicale lanced'ailleurs un ultimatum au gouvernement, suite à la promesse de ce dernier de mettre en place un fonds visantl'approvisionnement des établissementsscolaires en matériels de protection. Ilspréviennent même, que "si cette garantiene se matérialise pas d'ici une semaine, ils agiront en conséquence". Wait and see
I ls sont inquiets notamment des risques de propagation et du manque demoyens. Ce casse-tête se décline enautant d'appréhensions exprimées ces dernierstemps, surtout par la famille del'éducation. En effet, cette dernière n'estvraiment pas sur la même longueurd'ondes avec la tutelle, quant aux conditionsdans lesquelles s'effectue le cours de la scolarité, dans un contexte de rebond descas de contamination à la Covid-19. La tension monte donc d'un cran dans ce secteur.L'Intersyndicale envisage même d'initier des actions de protestation, si lestatu quo persiste. Les syndicalistesdénoncent notamment les conditions detravail. Ils demandent un fonds pourl'approvisionnement des établissementsscolaires en matériels de protection, ainsi
qu'un emploi du temps adapté.
Ce quiinflue négativement selon eux, sur la priseen charge des élèves et même du personnel.L'idée d'une grève illimitée reste une option à ne pas écarter en cas de sourdeoreille.Ainsi, la tutelle devrait intervenir pour apporter une solution et mettre fin àce bras de fer qui n'en finit pas. A rappelerque l'UNPEF a déjà ouvert le bal de la protestationen observant, il y a quelquesjours, un débrayage qui a concerné plusieurscollèges et écoles primaires. Lesenseignants affiliés à ce syndicat ont égalementtenu un sit-in à Alger pour réclamer l'application du protocole sanitaire.Le manque de moyens de protection sur les lieux de travail serait la principale raison de la grogne des travailleurs de l'éducation.Rappelons aussi, qu'avant cela, les syndicatsautonomes de l'éducation avaientappelé à l'organisation d'une action de protestationcommune pour dénoncer la "gestiondes autorités de la rentrée scolaire".
L'UNPEF a manifestement fait cavalierseul, et a décrété une journée de grève. En dehors de l'impact de celle-ci, cette démarche est peut-être annonciatrice d'unevague de protestations en milieu scolaire. La situation que vit le secteur pourrait se détériorer davantage, selon les acteurs del'éducation. Cette crainte se révèle justifiéelorsqu'on voit la multiplication des menaces de grève. L'intersyndicale lanced'ailleurs un ultimatum au gouvernement, suite à la promesse de ce dernier de mettre en place un fonds visantl'approvisionnement des établissementsscolaires en matériels de protection. Ilspréviennent même, que "si cette garantiene se matérialise pas d'ici une semaine, ils agiront en conséquence". Wait and see
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Posté Le : 30/11/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com