Algérie

L'intégrisme revient au galop !



Mais qu'est-ce qui fait donc bouger cette fauned'intégristes qui reprennentsubitement du poil de la bête en tentant de dicter leurs lois rétrogrades dans nos cités 'Mais qu'est-ce qui fait donc bouger cette fauned'intégristes qui reprennentsubitement du poil de la bête en tentant de dicter leurs lois rétrogrades dans nos cités '
La question est d'une brûlante actualité quand on observe ces détestablesexpressions de ces barbus qui secroient suffisamment forts pour interdiredes manifestations artistiques.Il y a de quoi nourrir des craintes d'autantplus que ces "descentes" publiques ponctuéesde prières collectives sur la voiepublique, réinstalle le décor horrible desannées 90.
C'est comme cela en effetqu'Abassi Madani, Ali Benhadj et leursapôtres avaient commencé leur oeuvre malsaineavant de prendre les armes et constituerdes bataillons de terroristes qui allaient peupler les GIA. Que l'on y prenne garde. Cette agitation islamiste sous couvert de problèmes dedéveloppement local qui commence à devenir diffuse risque d'être incontrôlable si l'état baisse la garde ou laisse faire. Il serait dommage que l'Algérie retombedans les rets de l'intégrisme ravageur après avoir vécu l'enfer une décennie durant. Ce qui s'est passé à Ouargla où des citoyens avaient organisé une prièrepublique devant la scène d'un spectacle pour l'en empêcher et réclamer que l'argent débloqué serve à des projets de développement, ne doitpas tromper les consciences.
Il y a mille et une façons decontester la gestion des affaires locales. Lefaire avec des prières ne laisse presque aucun doutesur les motivations de l'actionet le plan de ses initiateurs.Preuve en est que la formule à base d'ingrédientsislamistes fait petit à petit recette ailleurs. A Sidi Bel Abbès un groupuscule de fanatiques barbus a tenté mercredi de dresser un barrage de priants pourempêcher l'ouverture du festival annuel de la musique raï. Si l'on admet qu'il y a des problèmes de développement à Ouargla où la jeunesse n'a pas vraiment beaucoup de travail qu'en est-il en effet de Sidi Bel-Abbès qui esttout de même un pôle de l'industrie électronique' Il y a clairement une tentative de réinstaller l'horrible ambiance de l'ex FIS triomphant et criant que toute la culture est "haram". Le souci est que les maîtres à penser de ce;retour en grâce de l'intégrisme religieux puissent profiter de l'insoutenable malaise de la jeunesse pour ratisser le plus largepossible dans ses rangs comme l'avait fait le FIS en son temps.
Le propos ici n'est pas de tenir un discours alarmiste, mais de faire prendre conscience que ledrame algérien des années 90 a commencécomme cela. C'est pourquoi, il serait fatal au pays si d'aventure, les autorités continuent à fermer l'oeil face à ces, écervelés qui bombent le torse, par soucide contenter tout le monde à l'approche dela présidentielle. Ce sera un calcul dangereux surtout quele gouvernement a mauvaise presse et que le pouvoir d'achat s'érode jour après jour. Les prières de rue pourraient en effet, et très vite, se transformer en occupation des rues et bonjour les dégâts ! Qu'à Dieu ne plaise...
La question est d'une brûlante actualité quand on observe ces détestablesexpressions de ces barbus qui secroient suffisamment forts pour interdiredes manifestations artistiques.Il y a de quoi nourrir des craintes d'autantplus que ces "descentes" publiques ponctuéesde prières collectives sur la voiepublique, réinstalle le décor horrible desannées 90.
C'est comme cela en effetqu'Abassi Madani, Ali Benhadj et leursapôtres avaient commencé leur oeuvre malsaineavant de prendre les armes et constituerdes bataillons de terroristes qui allaient peupler les GIA. Que l'on y prenne garde. Cette agitation islamiste sous couvert de problèmes dedéveloppement local qui commence à devenir diffuse risque d'être incontrôlable si l'état baisse la garde ou laisse faire. Il serait dommage que l'Algérie retombedans les rets de l'intégrisme ravageur après avoir vécu l'enfer une décennie durant. Ce qui s'est passé à Ouargla où des citoyens avaient organisé une prièrepublique devant la scène d'un spectacle pour l'en empêcher et réclamer que l'argent débloqué serve à des projets de développement, ne doitpas tromper les consciences.
Il y a mille et une façons decontester la gestion des affaires locales. Lefaire avec des prières ne laisse presque aucun doutesur les motivations de l'actionet le plan de ses initiateurs.Preuve en est que la formule à base d'ingrédientsislamistes fait petit à petit recette ailleurs. A Sidi Bel Abbès un groupuscule de fanatiques barbus a tenté mercredi de dresser un barrage de priants pourempêcher l'ouverture du festival annuel de la musique raï. Si l'on admet qu'il y a des problèmes de développement à Ouargla où la jeunesse n'a pas vraiment beaucoup de travail qu'en est-il en effet de Sidi Bel-Abbès qui esttout de même un pôle de l'industrie électronique' Il y a clairement une tentative de réinstaller l'horrible ambiance de l'ex FIS triomphant et criant que toute la culture est "haram". Le souci est que les maîtres à penser de ce;retour en grâce de l'intégrisme religieux puissent profiter de l'insoutenable malaise de la jeunesse pour ratisser le plus largepossible dans ses rangs comme l'avait fait le FIS en son temps.
Le propos ici n'est pas de tenir un discours alarmiste, mais de faire prendre conscience que ledrame algérien des années 90 a commencécomme cela. C'est pourquoi, il serait fatal au pays si d'aventure, les autorités continuent à fermer l'oeil face à ces, écervelés qui bombent le torse, par soucide contenter tout le monde à l'approche dela présidentielle. Ce sera un calcul dangereux surtout quele gouvernement a mauvaise presse et que le pouvoir d'achat s'érode jour après jour. Les prières de rue pourraient en effet, et très vite, se transformer en occupation des rues et bonjour les dégâts ! Qu'à Dieu ne plaise...


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