Algérie

L'inquiétude des parents d'élèves



Le président de l'Association nationale des parents d'élèves se dit "très inquiet" par rapport à la grève cyclique annoncée par le Cnapeste avant-hier dimanche et quidevrait commencer le 9 avril prochain. "Nous sommes très inquiets par ce préavisde grève, surtout pour les classes d'examens.Le président de l'Association nationale des parents d'élèves se dit "très inquiet" par rapport à la grève cyclique annoncée par le Cnapeste avant-hier dimanche et quidevrait commencer le 9 avril prochain. "Nous sommes très inquiets par ce préavisde grève, surtout pour les classes d'examens.
On a d'ailleurs difficilement trouvé du temps pour le rattrapage. S'ils observent encore deux jours de grève par semaine, il va y avoir des conséquences", s'alarme Khaled Ahmed, président de l'organisation. "On refuse cette grève qui n'a aucun sens. Les portes du dialogue sontouvertes. Ils (syndicalistes) sont pressés. En moins d'un mois, ils veulent des résultats. Mais leurs revendications ne peuvent pas être satisfaites rapidement.
Il n'y a pas que le ministère de l'Education nationale qui décide. Il y a la Fonction publique et le ministère des Finances", avance Khaled Ahmed qui devait rencontrer la ministre de l'Education au cours de l'après-midi d'hier. Pour rappel, le Cnapeste a décidé de recourir à une grève cyclique de deux jours à partir du 9 avril prochain à l'issue de la, réunion de son conseil national. "Le blocage de l'enseignement du programme n'est pas également notre objectif. Nous sommes le 25 mars et notre grève commence le 9 avril.
On a tout le temps pour solutionner nos problèmes. Mais si le ministère continue dans son entêtement, il doit assumer ses responsabilités", a mis en garde le porte- parole du Cnapeste, Messaoud Boudiba.
On a d'ailleurs difficilement trouvé du temps pour le rattrapage. S'ils observent encore deux jours de grève par semaine, il va y avoir des conséquences", s'alarme Khaled Ahmed, président de l'organisation. "On refuse cette grève qui n'a aucun sens. Les portes du dialogue sontouvertes. Ils (syndicalistes) sont pressés. En moins d'un mois, ils veulent des résultats. Mais leurs revendications ne peuvent pas être satisfaites rapidement.
Il n'y a pas que le ministère de l'Education nationale qui décide. Il y a la Fonction publique et le ministère des Finances", avance Khaled Ahmed qui devait rencontrer la ministre de l'Education au cours de l'après-midi d'hier. Pour rappel, le Cnapeste a décidé de recourir à une grève cyclique de deux jours à partir du 9 avril prochain à l'issue de la, réunion de son conseil national. "Le blocage de l'enseignement du programme n'est pas également notre objectif. Nous sommes le 25 mars et notre grève commence le 9 avril.
On a tout le temps pour solutionner nos problèmes. Mais si le ministère continue dans son entêtement, il doit assumer ses responsabilités", a mis en garde le porte- parole du Cnapeste, Messaoud Boudiba.


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