L'infidélité féminine est plus grave...

J'ai écrit cet humble message qui a été rédigé à la hâte comme riposte à la dame qui prétend ou qui croit détenir des réalités sur l'homme algérien et ses comportements envers la partie féminine de sa famille, qu'elle juge incomparables avec ceux des femmes de dehors.
Et comme elle nous pose des questions directes, alors je procéderai à y répondre une par une, suivant son souhait : Avant ça, et concernant des sujets pareils, on ne peut pas généraliser, car dans cette vie, il n'y a pas de chose absolue (même si je ne nie pas qu'une toute petite minorité les fait).
1- Je ne suis pas marié, mais ça ne m'empêche pas de dire qu'un homme qui ne trouve pas l'amour, l'affection, le bonheur et la tendresse chez sa propre femme, systématiquement, il les cherche ailleurs (et c'est le cas pour les femmes aussi), car l'être humain, par instinct, est créé comme ça, et ce sont des comportements innés.
2- Pour les unités et le temps, nos chères mères et sœurs, on les voit souvent, et on est avec elles le long de l'année et au fil des ans, et le proverbe dit : loin des yeux loin du cœur, et moi je dirai : proche des yeux, proche du cœur.
3- Etre serviable, gentil et généreux : ce sont nos mères et sœurs aînées (dont tu parles) qui nous ont inculqué ces bonnes œuvres et habitudes de nos ancêtres, de même qu'elles nous ont appris, elles et nos ancêtres, à être solidaires (j'ai participé bénévolement au rassemblement de la somme de 400 millions de centimes pour la jeune Khaoula) même avec une somme modique, mais c'est le geste qui compte et l'union fait la force (même si je ne connais cette jeune étudiante ni de près ni de loin).
4 - Pour l'infidélité féminine, oui, je confirme, c'est plus grave que celle masculine, pour la simple et unique raison que notre religion nous a décrit la polygamie comme droit légal pour l'homme (donc dans ce cas n'est pas de l'infidélité mais bel et bien de la polygamie).
5 - Pour la sévérité envers elles, le proverbe n'a pas tort : qui aime bien châtie bien (mais dans le bon sens), et c'est le cas avec nos mères et sœurs.
6 - Apprendre par cœur la date de naissance de nos mères ne sert absolument à rien (même si je la connais par cœur), mais de connaître les choses qui lui font plaisir et essayer de les faire, connaître leurs soucis et en trouver des solutions, penser à leurs santé et leur trouver les remèdes, chercher les œuvres qui les rendent heureuses et les appliquer, tout ça vaut mieux que de connaître par cœur leur date de naissance.
7- Aimer une personne et s'attacher vivement à elle (nos mères et sœurs) reflète l'importance et le respect qu'on leur doit.
8 - Et en tant qu'homme (souvent l'homme est plus sage que la femme), un père ou un frère ne cherche et ne souhaite à sa fille que la bonne personne digne de confiance.
Et pour finir, je veux adresser ce petit message à nos chères mères et sœurs : soyez sûres que l'amour, le respect, le bien-être, le bonheur, la santé, la paix, etc., même si, nous les hommes, nous ne les divulguons pas et nous ne les proclamons pas, ne vont nulle part que pour vous = D (spécialement pour ma très chère mère).