Le reporter, après avoir quitté sa consœur sur le quai de gare de Beni Ounif, ne la reverra jamais
Année 1904, à Beni Ounif, aux confins du désert algéro-marocain, où aucun Européen n’est jamais venu. Isabelle Eberhardt et Jean Rodes, le reporter agenais, sont des camarades dans cette « cagnât » où ils écrivent, le soir, leurs articles pour des journaux parisiens concurrents, quand leur arrive l’artiste Maxime Noiré, envoyé par le gouverneur général pour peindre les paysages d’un grand tableau panorama de Figuig. Les voilà réunis dans cette chambrée comme les meilleurs amis du monde.
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Posté Le : 22/10/2022
Posté par : imekhlef
Ecrit par : rachid imekhlef
Source : Sud Ouest "Par Jean-Michel Delmas, historien local"