Algérie - Ouled Chebel


L'illogisme
L’illogisme

Jugement Pénal I et II
1) L’Accusation : Fausse Déclaration
Le terme est ambigu, inexact, il n’y a pas eu de déclaration par le fait que Mme Khadidja Dename (notaire) ne parle pas la langue française ni la langue espagnole et moi je ne parle pas la langue algérienne. 2) les Documents
Les deux Jurés (I et II) stipulent les avoir consultés, à l’évidence le Juré II ne les a pas bien interprétés. Le juge, son honneur M. Reda Fogil ayant reçu, par moi concédé, en main propre le Livret de Famille en a conclu que il est illogique que mon père ait fait son mariage a 13 ans, c'était aussi la conclusion du Juré I.

Cette conclusion est absurde le Livret de Famille est clair, limpide, Ahmed Si Ahmed né en 1935 (24 ans) c’est marié en 1959 avec ma mère Ana Si Ahmed née en 1926 (36 ans) moi figurant comme 1er enfant Eduardo Si Ahmed né en 1948 (11ans) tous les autres documents confirment ces dates, (S12), passeports, certificats de nationalité, Fredah comprise.

L’erreur est monumental, incompréhensible, illogique.

Pénal récapitulation
Le tribunal qui va juger la plainte de fausse déclaration à mon encontre, n’a pas en principe une idée bien précise de cette affaire.
Il est de première importance de révéler la machination ourdie par l’équipe des frères Messoud secondés par leur avocat de main Hakim Djaber qui jusqu'à présent a réussi remporter les décisions du tribunal a Boufarik, cette machination est composée de trois actions.
La Première est le dépôt d’une Fredah par les Beldjillali, appuyés par le sieur Kamel si Ahmed, ceci a permit d’empêcher la Fredah que j’avais obtenu en 2005 auprès de Mme Khadidja Dename et empêché la delivraison complète d’un Livret Foncier a mon nom.
La plainte au pénal est la Deuxième action elle consiste à me déchoir de ma filiation, elle est presque obtenue par la décision des magistrats Sheriff et Fodel, même tant absurde et illogique soit’elle.
La plainte sur le foncier est la Troisième action elle s’appui essentiellement sur la condamnation même provisoire de la plainte au pénal, elle a conforté les magistrats, car comme imaginer qu’un condamné a 3 ans de prison puisse être innocent ?
Malgré l’invraisemblance d’un montage alambiqué a l’impossible les jurés ont attribué aux frères Messou 1° Le terrain qu’ils avaient vendu a mes parents en 1976 et en 2° Cerise sur gâteau la maison construite dessus.
Sans cet exposé clairement récité et bien compris par les futurs jurés, l’on risque de devoir subir encore une nouvelle injustice, a preuve l’expérience de Maitre Bounatiro qui croyait avoir une stratégie ad-hoc et a copieusement négligé mes advertances, finalement il n’a révélé qu’une défense pusillanime, hoquetante, inaudible, le fiasco total.
Afin d’éviter la même mésaventure je m’attèle a cette rédaction qui se veut humble et respectueuse des opinions de chacun et des manières que vous voudrez employer dans ce procès.
mercredi 7 novembre 2018



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