Algérie

L'humiliation de trop



L'humiliation de trop
Battus et sèchement battus à Relizane, les Canaris ont subi une nouvelle humiliation. « C'est l'humiliation de trop », nous dira un fan. En fait ni Raki, ni El Bouraki, ni El Wali, ni El Hidoussi, encore moins le bouc sacrifié, n'ont réussi à sortir l'équipe de l'impasse dans laquelle elle se trouve. Une équipe qui est en train de réaliser le parcours de relégable. Un parcours en effet inquiétant pour les fans et ceux qui ont effectué le déplacement à Relizane et arrêté sur l'autoroute le bus de l'équipe pour déverser leur colère sur les joueurs, le staff et les dirigeants. Des dirigeants qui, cette fois-ci, n'ont aucun moyen ou raison pour justifier ces échecs répétés et surtout ces prestations insipides produites par leur onze. Ni le mauvais arbitrage ni l'opposition, sur lesquels s'appuyait jusque-là le PDG de la SSPA, pour expliquer les mauvais résultats de son équipe. Une équipe méconnaissable qui avait pourtant réalisé, toujours selon ce même PDG, le meilleur recrutement.Un recrutement qui, à chaque sortie, atteste du contraire. Le plus grave dans cette histoire, ce sont, chaque fois, ceux qui ont porté les couleurs de l'équipe et qui ont été évincés comme des moins que rien qui sont devenus les bourreaux de cette équipe de la JSK. Une équipe dont le coach tunisien, Hidoussi, a eu honte, samedi dernier à Relizane, lui qui a été battu par son compatriote Bouakaz, avec une équipe aux joueurs techniquement moyens par rapport à ceux de la JSK. Une JSK dont il ne reste plus que le nom qui force le respect, tant elle est devenue une équipe quelconque qui fait que les défunts Mansour Abtouche, Omar Belhocine, Abdelkader Khalef et Boussad Benkaci et tous ces dirigeants et joueurs, aujourd'hui disparus, doivent se retourner dans leur tombe. Face à Relizane, où les Canaris ont été à chaque fois déplumés tant en championnat qu'en coupe, les camarades de Rial ont fourni une piètre prestation à l'image de la pitrerie de leur gardien Asselah qui, comme à l'accoutumée, ne manque pas de faire des siennes, faisant payer à l'équipe ses pitreries. En fait, les Canaris, c'est dans leur tête que le mal est profond.Un mal qu'il faudrait aussi aller chercher dans la gestion de ce vestiaire, voire même dans la gestion tout court.


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