« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans.Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés». (Dixit : David Rockefeller). Ainsi, les Etats sont condamnés, ils étaient garants d'une certaine autonomie. Les politiques n'auront bientôt plus aucun pouvoir. La classe moyenne est appelée à disparaître : resteront seulement les plus nantis, et leurs laquais, et, bien évidemment, les plus pauvres, promis à un nouveau servage, « moderne », ou destinés à devenir la chair à canon des multinationales de l'armement. De toute façon, l'humanité semble au bord du grand désastre : misère, désespoir, guerres en tout genre, suicides, faim, maladies « modernes », etc., ou prison pour les plus réfractaires à cette monstruosité planétaire. Peut-on échapper à l'horreur programmée par quelques fous à l'appétit insatiable ' Une course de vitesse est engagée entre l'« Empire » ennemi de l'humanité, qui s'est adjoint les services de dirigeants européens enrôlés de gré ou par nécessité, et le reste du monde, avec des Etats comme la Chine ou la Russie, qui ont compris la perversité des Anglo-Saxons et de leurs alliés israéliens ou européens. On murmure que des bombes sont prêtes à être larguées sur les futurs géants (avant qu'ils n'aient eu le temps de s'organiser), dont la défense pourrait être neutralisée sans avertissement. Sans doute ces futurs rivaux se préparent-ils, en armant leurs alliés un peu partout (Etats arabes comme l'Iran ou la Syrie,ou latino-américains, par exemple). Seuls ces Super-Etats restent en apparence les seules forces à même de procéder à un équilibre des puissances face aux prédateurs occidentaux. Comme nous l'avons signalé dans une précédente chronique, les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d'institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Or ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l'impact de leurs décisions sur la vie des populations. Le pouvoir de ces organisations vampiriques s'exerce sur une dimension planétaire, alors que le pouvoir des Etats est limité à une dimension nationale. Par ailleurs, le poids des sociétés multinationales dans les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des Etats. A dimension trans-nationale, plus riches que les Etats, mais aussi principales sources de financement des partis politiques de toutes tendances et dans la plupart des pays, ces organisations sont de fait au-dessus des lois et du pouvoir politique, au-dessus de la démocratie. (A suivre)
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Posté Le : 08/12/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : C A
Source : www.lnr-dz.com