Il aura donc fallu près de 4 mois et l'hospitalité d' El Watan pour que Mohamed Harbi produise péniblement une réponse sur le rôle qu'il a personnellement joué lorsque la décision d'exécuter le colonel Chaabani a été prise.
Après avoir convoqué le ban et l'arrière-ban de la logomachie trostkyste, l'historien s'étale à longueur de colonnes sur les complots qui le viseraient. Parce qu'il dérange, dit-il. Ce qui dérange, cependant, l'historien n'est pas là. C'est surtout que soit écornée l'image surfaite d'un démocrate à tous crins, piteusement rattrapé par un passé pas toujours glorieux. Nous y reviendrons.
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Posté Le : 05/06/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Soir d'Algérie
Source : www.lesoirdalgerie.com