Algérie

L'heure de vérité pour les Verts



L'heure de vérité arrive pour Vahid Halilhodzic et son groupe. C'est en effet aujourd'hui , à partir de 17h30 au stade de l'Indépendance Stadium de Banjul que les Verts défieront leurs homologues de la Gambie à l'occasion du match aller du second tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2013.L'heure de vérité arrive pour Vahid Halilhodzic et son groupe. C'est en effet aujourd'hui , à partir de 17h30 au stade de l'Indépendance Stadium de Banjul que les Verts défieront leurs homologues de la Gambie à l'occasion du match aller du second tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2013.
Privés de l'édition précédente, les Verts tenteront de bien entamer cette nouvelle édition qui débutera par un déplacement dans la capitale gambienne, Banjul. Un match important, parallèlement difficile, attend les coéquipiers de Khaled Lemouchia en terre gambienne. L'Algérie qui va renouer officiellement ce soir avec la compétition africaine, n'aura pas la tâche facile.
Certes, la Gambie est loin d'être un foudre de guerre, mais elle reste un client à prendre au sérieux. Ceux qui pensent que cet adversaire ne devrait pas constituer une menace ne s'appuient que sur le passé de ce pays. Actuellement, il n'y a plus de petites équipes africaines. Toutes les sélections peuvent prétendre à un meilleur résultat. Comme l'atteste, bien évidemment, la défaite surprise de la sélection algérienne face à son homologue centrafricaine lors des éliminatoires précédentes. C'est vrai que les Gambiens n'ont jamais réussi à se qualifier à la Coupe du monde voire même à une coupe d'Afrique, mais ils pourront créer l'exploit d'autant plus que le rendez-vous aura lieu sur leur pelouse et devant leur public. En Afrique subsaharienne, le climat n'est souvent pas favorable pour la sélection algérienne dont la plupart de ses joueurs sont issus des championnats européens où la température ne dépasse pas les 10 degrés en cette période. Outre ces conditions climatiques qui ne jouent pas en faveur des Algériens, il y a le problème de la pelouse qui est actuellement dans un état pitoyable. Les Scorpions, de leur côté, sont coriaces sur leurs bases. Ils développent un jeu beaucoup plus agressif que technique. Ceux qui ont vécu le scénario de 2007 et celui de 2008 savent pertinemment ce qui attend Halilhodzic et son groupe à Banjul. En puis, il y a également les craintes pour ce qui concerne l'arbitrage. La désignation par la CAF du Malien Coulibaly Koman pour officier cette rencontre quatre ans après avoir dirigé la même affiche sur la même pelouse à fait couler déjà beaucoup d'encre. En tous cas, ce sont entre autres, des paramètres sur lesquels les Gambiens vont beaucoup miser pour prendre à défaut les Algériens. Celui qui n'a pas eu l'occasion de suivre les rencontres entre l'Algérie et la Gambie, a vu certainement l'Algérie s'incliner face au Malawi ( 3-0) lors du premier match de la phase finale de la coupe d'Afrique en Angola. Une chose est sûre, ces paramètres peuvent influer négativement sur le rendement de l'équipe, mais les joueurs doivent faire très attention également à l'agressivité des joueurs gambiens. Le sélectionneur national et son groupe savent bien de quoi il s'agit : «Je sais que l'équipe de la Gambie comme la plupart des équipes africaines a un jeu beaucoup plus agressif, je vais discuter de cela avec mes joueurs. Il est important de rester calme et de ne pas répondre à la provocation», a reconnu le coach national lors de son dernier point de presse. En dépit de toutes ces difficultés, l'équipe nationale algérienne doit coûte que coûte revenir avec un résultat probant qui lui permettra de poursuivre sa mission en toute sérénité.
Privés de l'édition précédente, les Verts tenteront de bien entamer cette nouvelle édition qui débutera par un déplacement dans la capitale gambienne, Banjul. Un match important, parallèlement difficile, attend les coéquipiers de Khaled Lemouchia en terre gambienne. L'Algérie qui va renouer officiellement ce soir avec la compétition africaine, n'aura pas la tâche facile.
Certes, la Gambie est loin d'être un foudre de guerre, mais elle reste un client à prendre au sérieux. Ceux qui pensent que cet adversaire ne devrait pas constituer une menace ne s'appuient que sur le passé de ce pays. Actuellement, il n'y a plus de petites équipes africaines. Toutes les sélections peuvent prétendre à un meilleur résultat. Comme l'atteste, bien évidemment, la défaite surprise de la sélection algérienne face à son homologue centrafricaine lors des éliminatoires précédentes. C'est vrai que les Gambiens n'ont jamais réussi à se qualifier à la Coupe du monde voire même à une coupe d'Afrique, mais ils pourront créer l'exploit d'autant plus que le rendez-vous aura lieu sur leur pelouse et devant leur public. En Afrique subsaharienne, le climat n'est souvent pas favorable pour la sélection algérienne dont la plupart de ses joueurs sont issus des championnats européens où la température ne dépasse pas les 10 degrés en cette période. Outre ces conditions climatiques qui ne jouent pas en faveur des Algériens, il y a le problème de la pelouse qui est actuellement dans un état pitoyable. Les Scorpions, de leur côté, sont coriaces sur leurs bases. Ils développent un jeu beaucoup plus agressif que technique. Ceux qui ont vécu le scénario de 2007 et celui de 2008 savent pertinemment ce qui attend Halilhodzic et son groupe à Banjul. En puis, il y a également les craintes pour ce qui concerne l'arbitrage. La désignation par la CAF du Malien Coulibaly Koman pour officier cette rencontre quatre ans après avoir dirigé la même affiche sur la même pelouse à fait couler déjà beaucoup d'encre. En tous cas, ce sont entre autres, des paramètres sur lesquels les Gambiens vont beaucoup miser pour prendre à défaut les Algériens. Celui qui n'a pas eu l'occasion de suivre les rencontres entre l'Algérie et la Gambie, a vu certainement l'Algérie s'incliner face au Malawi ( 3-0) lors du premier match de la phase finale de la coupe d'Afrique en Angola. Une chose est sûre, ces paramètres peuvent influer négativement sur le rendement de l'équipe, mais les joueurs doivent faire très attention également à l'agressivité des joueurs gambiens. Le sélectionneur national et son groupe savent bien de quoi il s'agit : «Je sais que l'équipe de la Gambie comme la plupart des équipes africaines a un jeu beaucoup plus agressif, je vais discuter de cela avec mes joueurs. Il est important de rester calme et de ne pas répondre à la provocation», a reconnu le coach national lors de son dernier point de presse. En dépit de toutes ces difficultés, l'équipe nationale algérienne doit coûte que coûte revenir avec un résultat probant qui lui permettra de poursuivre sa mission en toute sérénité.


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