L'haltérophilie algérienne épargnée par le dopage

Le président de la Fédération algérienne d'haltérophilie (FAH), Azziz Brahimi, était tout heureux de nous exhiber les résultats de la Fédération internationale relatifs aux 20 contrôles inopinés en 2013 des haltérophiles de l'EN, qui portent la mention : négatif.Sur cet aspect, le président de la FAH insiste sur le sérieux et le respect de lois qui régissent le sport. Il nous dira que sa fédération est inscrite au système d'administration et de gestion antidopage (Adams) qui a été conçu dans ce but. Il ajoutera : «C'est un centre d'information en coordination avec le CIO et la Fédération internationale et où sont réunies diverses informations liées à l'antidopage, les résultats de laboratoire, les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques et autres données concernant les violations de règles antidopage.»Cela, nous permet, indiquera-t-il également, de partager des informations entre les organisations concernées et autorisées, et de garantir que les initiatives antidopage soient menées de manière transparente et efficace. Par ailleurs, trois haltérophiles, Hosseyn Ferdjallah (85 kg), Walid Bidani (105 kg) et le jeune Aymen Touiri 16 ans (94 kg) effectuent un stage en commun avec la sélection tunisienne depuis le 9, qui ira jusqu'au 27 février. Ils préparent aussi bien les championnats du monde, arabe et africain.