Algérie

L'expérience de Naâma retardée



Cette opération «portes ouvertes sur l’aquaculture» a été  rehaussée par une remarquable exposition à laquelle les trois dispositifs Ansej, Cnac et Angem ont adhéré. Celle-ci a été chargée d’informer les jeunes en vue d’une éventuelle formation technique en pêche et aquaculture à l’école de Béni Saf et,  d’autre part, les agriculteurs locaux désirant procéder à l’ensemencement des bassins d’irrigation par trois espèces de carpes, notamment par le tilapia. Des poissons, nous explique-t-on, exempts de cholestérol, riches en protéines, en vitamines et en oméga 3 (acide gras non saturé). Un complément nutritif en vue d’assurer la sécurité alimentaire et de satisfaire quelque peu la demande locale. Mais aussi une bonne fertilisation des terres irriguées par l’eau d’élevage des poissons. En somme, une opération de sensibilisation dont la finalité serait d’atteindre le taux minimum de consommation fixé par l’OMS qui est de 6,2 kg par personne et par an.
Notons au passage que, depuis quelques années déjà, le secteur de la pêche a entrepris la mise en place d’une ferme d’aquaculture à Naâma sur une superficie de 10 ha, inscrite dans le programme des Hauts-Plateaux, pour un budget initial de 50 millions de DA. Cette infrastructure n’a pas encore vu le jour et, depuis,  les travaux n’ont jamais été lancés.                      


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