Algérie

L'EX WALI, M. ABDELMALEK BOUDIAF, AVANT SON DEPART D'ORAN : « El Bahia est une perle qu'il faut dégrossir »



L'EX WALI, M. ABDELMALEK BOUDIAF, AVANT SON DEPART D'ORAN : « El Bahia est une perle qu'il faut dégrossir »
C'est ce qu'a déclaré le wali d'Oran ,lors de la réception qu'il a organisé au siège de la salle des fêtes de la wilaya d'Oran en présence de l'ensemble des élus et membres de l'exécutif, les représentants des cadres et organisation de masse ainsi que les membres du milieu associatif .Il faut souligner que le docteur Abdelmalek Boudiaf a donné une nouvelle dynamisme à la ville d'El Bahia et personne ne pourra mettre en cause le travail colossal entrepris par l'ex-chef de l'exécutif au niveau de la wilaya d'Oran, ce dernier durant ces 02 années à la tête de cette importante wilaya métropolite, méditerranéenne a donné un nouvel élan avec la mise à niveau qu'il a instauré depuis son installation à la tête de cette importante wilaya d'Oran capitale de la région Ouest avec l'établissement d'un programme budgétaire en conséquence comme suit :
14 milliards d'euros
pour moderniser Oran
Dans 13 ans, Oran, la capitale de l'Ouest algérien, aura un rayonnement réellement méditerranéen. C'est la conclusion principale qui a été tirée de la dernière réception organisée au siège de la wilaya par M. Abdelmalek Boudiaf, le wali d'Oran, pour présenter les contours du schéma de modernisation de la ville dont il a fait, depuis sa nomination à la tête de l'exécutif oranais, son cheval de bataille. Le méga projet qui devra se matérialiser entre 2012 et 2025 et qui exigerait 14 milliards d'euros pour sa réalisation, a été décortiqué devant la presse, dans tous ses segments. « Oran est une vraie perle qu'il faut dégrossir pour en faire sortir l'éclat et la luminosité », dira-t-il en guise de préambule et de conclusion. A travers son discours il a fait le tour de l'actuelle ville pour en souligner les points noirs (vétusté du vieux bâti, circulation exsangue, déficit en espaces verts...) et les atouts dont elle dispose pour prétendre au statut de grande métropole méditerranéenne. Prenant à bras le corps les six défis qui s'imposent à toute idée de rendre une ville moderne, il a étudié avec un panel d'universitaires et d'experts, la « vocation » d'Oran, sa « mobilité » interne, la qualité de « l'environnement », le « patrimoine » culturel, l'« habitat » et enfin, la bonne « gouvernance » urbaine. S'inspirant, en partie, de la Loi sur la ville, promulguée en 2007 et 2008, M. Boudiaf a décidé de faire d'Oran une vraie grande ville « nationale et internationale, au même titre, sinon mieux, que Barcelone, Marseille, Naples.... » comme il tient à le souligner. Etant arrivé à la conclusion, après des études minutieuses, qu'Oran a, bizarrement, le dos tourné à la mer, il a conclu à la nécessité d'ouvrir El Bahia sur la Méditerranée. C'est une idée neuve et ambitieuse qui exige beaucoup d'imagination, de travail et d'argent. M. Boudiaf se targue d'être le maître d''uvre de l'idée et de pouvoir disposer des trois éléments pour mener à bien ce « schéma qui aspire à placer Oran parmi les atouts potentiels de l'Algérie dans l'ouverture et la compétition internationales » actuellement il vient d'être promu par le chef de l 'Etat au poste de Ministre de la santé publique, nous souhaitons une bonne réussite dans sa nouvelle fonction une mission dure mais sachant bien que le docteur Boudiaf Abdelmalek sait relever les défis.


pourqu'oi alors, on ne l'a pas laissé (abdelmalek boudiaf) à ORAN pour terminer ce qu'il a commencer! c le système des changement brusque qui interompe le developpement, parceque y aura quelqu'un d'autre qui remettre les pendules à "0"
nabil el rali - cadre commercial - oran, Algérie

22/09/2013 - 130886

Commentaires

Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)