Depuis sa condamnation par le tribunal correctionnel de Blida à une peine d'emprisonnement ferme, à la confiscation du passeport et à une amende de 20.000 DA pour «parti pris», Ahmed Bellil l'ex-président du Conseil d'Etat dont la faute a gelé toute opération de récupération des biens de l'EPSR (L'Entreprise des panneaux et signalisation et de revêtement) de Chéraga (Alger) de Mohamed Chérif Ould El Hocine, le condamné ne cesse d'alerter les pouvoirs publics sur une prétendue histoire liant Ali Benflis, Abdelaziz Bouteflika et un soi-disant règlement de comptes remontant à la veille du deuxième mandat présidentiel. La «bagarre» au sommet a eu lieu en 2003. Ould El Hocine a été spolié de son bien en 1980! Des biens récupérés normalement en 1987! Puis en 1997. Or, en mai 2000, l'action néfaste de Bellil a bloqué toute avance de l'affaire pendante par-devant les juridictions. «On a tout entrepris pour geler la restitution.» Mais en sa qualité d'ex-magistrat, Ahmed Bellil devait s'interdire de critiquer le verdict de Naïma Lamraoui en attendant l'appel à Blida où les trios sont intègres et droits. Le reste n'est qu'inutiles gesticulations car ceux qui ne connaissent pas le président de la cour et le procureur général de Blida apprendront à leurs dépens qu'un dossier n'est débattu que dans une salle d'audience, pas dans les canards ou sur les réseaux sociaux nocifs et surtout attentatoires des familles honorables, telles de Mohamed Chérif Ould El Hocine, moudjahid de la première heure de l'ex-Wilaya IV historique.
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Posté Le : 14/05/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com