Un nouveau gouvernement technique, un gouvernement minoritaire de gauche, des alliances improbables ou de nouvelles élections ' L'Italie était toujours dans le flou vendredi après des élections qui n'ont dégagé aucune majorité claire, suscitant les inquiétudes de l'Europe. Le temps presse, les marchés s'inquiètent, le pays, surendetté et plongé dans la récession, piétine dans l'attente de décisions urgentes et difficiles, mais aucun scénario ne prévaut dans l'immédiat.
Le vrai vainqueur du scrutin de dimanche-lundi, l'ex-humoriste Beppe Grillo, dont le Mouvement Cinq Etoiles (M5S) a cristallisé le vote de protestation en remportant un quart des voix, a opposé un "non" cinglant au chef de la gauche qui lui proposait un accord sur un programme commun de réformes concrètes (coupes dans les dépenses de la politique, mesures pour chômeurs et travailleurs précaires).
Fort d'une solide majorité à la Chambre des députés, M. Bersani est minoritaire au Sénat et devrait recevoir l'appui soit du M5S qui compte 54 parlementaires dans cette chambre, soit sur la coalition de droite de Silvio Berlusconi pour passer le test du vote de confiance initial qui permet à un gouvernement d'entrer en fonction.
Le Cavaliere s'est déclaré disposé à offrir à certaines conditions son soutien à M. Bersani, une hypothèse que les militants de gauche et son entourage rejettent résolument.
Ni le Cavaliere ni M. Grillo n'envisagent, en revanche, une alliance entre eux.
Un nouveau gouvernement technique, un gouvernement minoritaire de gauche, des alliances improbables ou de nouvelles élections ' L'Italie était toujours dans le flou vendredi après des élections qui n'ont dégagé aucune majorité claire, suscitant les inquiétudes de l'Europe. Le temps presse, les marchés s'inquiètent, le pays, surendetté et plongé dans la récession, piétine dans l'attente de décisions urgentes et difficiles, mais aucun scénario ne prévaut dans l'immédiat.
Le vrai vainqueur du scrutin de dimanche-lundi, l'ex-humoriste Beppe Grillo, dont le Mouvement Cinq Etoiles (M5S) a cristallisé le vote de protestation en remportant un quart des voix, a opposé un "non" cinglant au chef de la gauche qui lui proposait un accord sur un programme commun de réformes concrètes (coupes dans les dépenses de la politique, mesures pour chômeurs et travailleurs précaires).
Fort d'une solide majorité à la Chambre des députés, M. Bersani est minoritaire au Sénat et devrait recevoir l'appui soit du M5S qui compte 54 parlementaires dans cette chambre, soit sur la coalition de droite de Silvio Berlusconi pour passer le test du vote de confiance initial qui permet à un gouvernement d'entrer en fonction.
Le Cavaliere s'est déclaré disposé à offrir à certaines conditions son soutien à M. Bersani, une hypothèse que les militants de gauche et son entourage rejettent résolument.
Ni le Cavaliere ni M. Grillo n'envisagent, en revanche, une alliance entre eux.
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Posté Le : 04/03/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R I
Source : www.lemidi-dz.com